🅷🅴🅻🅿, je ne sais pas si j'ai aimé !

Suis ma réflexion et dis moi ⤵️ si pour toi je vais garder un bon ressenti



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𝙏𝙧𝙞𝙡𝙤𝙜𝙞𝙚 𝙚𝙩 𝙥𝙚́𝙧𝙞𝙥𝙚́𝙩𝙞𝙚𝙨 - 𝘜𝘯𝘦 𝘪𝘯𝘵𝘳𝘪𝘨𝘶𝘦 𝘱𝘢𝘳 3

Partant d'un conte revisité en passant par des complots de guerres en finissant par la recherche de la paix, cette saga ouvre le champ d'horizon de fantasy !

D'un point de vue général, j'ai Apprécié cette lecture mais je me rende compte en écrivant cette chronique que j'en ai peu à dire...

Ai-je finalement tant aimé que cela ?





𝙋𝙨𝙮𝙘𝙝𝙤𝙡𝙤𝙜𝙞𝙚 𝙚𝙩 𝙙𝙚́𝙫𝙚𝙡𝙤𝙥𝙥𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩 - 𝘈𝘤𝘵𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘪𝘯𝘵𝘦𝘳𝘱𝘳𝘦́𝘵𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴

Un des points à relever est l'aspect évolutif des interactions entre les personnages. Effectivement, j'ai pu le ressentir au fur et à mesure. Les personnages s'adaptent et apprennent à se connaître, ils n'ont plus peur de faire tomber le masque de l'autre. J'ai apprécié cette manière qu'ils avaient de mettre à jour les vraies intentions ! 😇



𝗨𝗻𝗲 𝗲́𝘁𝗶𝗻𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗲𝗻 𝗺𝗼𝗶𝗻𝘀 - 𝖰𝗎𝖺𝗇𝖽 𝗅'𝗈𝗋𝗂𝗀𝗂𝗇𝖺𝗅𝗂𝗍𝖾́, 𝗍𝗎 𝗅'𝖺𝗌 𝗉𝖺𝗌 𝗍𝗋𝗈𝗎𝗏𝖾́

Bien qu'ils se passent des choses dans cette trilogie, plus ou moins gore, il m'a manqué ce truc d'original. Les évènements se ressemblent, sont parfois prévisibles. Mais le tout se laisse lire, la plume est très fluide

J'ai cependant vu la fin arriver en me disant : et comment on va finir tout ça ?



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𝗘́𝗾𝘂𝗶𝗹𝗶𝗯𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗷𝘂𝘀𝘁𝗲𝘀𝘀𝗲 - 𝖯𝗈𝗂𝗇𝗍 𝖽𝖾 𝗏𝗎𝖾 𝖾𝗍 𝖾𝗑𝗉𝗅𝗈𝗂𝗍𝖺𝗍𝗂𝗈𝗇 𝖽𝗎 𝖼𝗈𝗇𝗍𝖾𝗑𝗍𝖾

Les différents PDV m'ont permis d'avoir une image d'ensemble. Au fil des tomes, nous apprenons a nous attacher aux personnages (pas tous je vous rassure, tout le monde n'est pas gentil ici).

Cependant, le reste du monde où se passe cette histoire n'est pour moi pas assez utilisé

J'ai eu une image avec des personnages ... mais sans fond derrière. Comme pour les photos d'identité



𝗢𝘂𝗶 𝗼𝘂 𝗻𝗼𝗻

Même si je garde un bon ressenti, la fin m'a laissé sur ma faim. Certaines choses ne sont pas finies, d'autres m'ont faut dire : oui mais ça c'est un peu fort ...



Penses-tu que je vais en garder un bon ressenti ? Mitigé ?
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Un soir à Washington Harper va assister à une tentative d’enlèvement. Elle va prendre son courage à deux mains et va essayer d’intervenir sauf qu’elle va prendre la place de la victime et va se retrouver propulsée dans un autre monde : le royaume d’Amberfall. Elle y fera la rencontre d’un prince, Rhen, victime d’une malédiction qui essaie de sauver son peuple d’un monstre. Mais seul l’amour véritable d’une femme pourra rompre le sort qui frappe le royaume…



On se rapproche du coup de cœur tellement j’ai apprécié ma lecture j’ai tout aimé dans cette histoire : le parallèle entre notre monde et celui du royaume d’Emberfall, Harper une jeune femme forte avec un sacré tempérament prête à tout pour sauver n’importe qui, le prince Rhen fidèle à lui-même mais que l’on aime quand même, le commandant Grey personnage énigmatique et comment ne pas penser à Lilith le mal en personne, sombre sorcière cruelle.



J’ai passé un excellent moment de lecture avec ses histoires de guerre, d’alliance, de magie. le roman se termine avec d’importantes révélation qui laisse le lecteur sur sa faim!

Un conte moderne avec une réécriture de la Belle et la Bête parfaitement maîtrisé.

Depuis le temps que je voulais lire la suite de cette série. C'est enfin fait. Je suis heureuse que ce second tome porte sur Grey et Lia Mara. J'apprécie que nous ayons un deuxième couple dans cette histoire et qui ainsi, nous apporte le point de vue des habitants et dirigeants de la Passe de Syhl.

J'avoue que dans ce tome, le comportement de Rhen m'a agacé au plus haut point. Comment peut-on traiter quelqu'un qui s'est sacrifié, qui a passé autant de temps que ça avec vous pour se libérer d'une malédiction et agir de la sorte envers lui et un innocent par-dessus le marché? Je suis fâché contre ce personnage pour le moment et j'en attends beaucoup de lui dans le dernier opus.

J'ai beaucoup aimé découvrir la culture différente de la Passe de Syhl. Ici, ce sont des femmes qui règnent, la reine choisit un partenaire comme bon lui semble pour donner naissance à des héritières. Le titre ne revient pas à l'aînée, mais à celle qui se démarque en attitude et potentiel politiques.

Lia Mara préfère discuter de paix plutôt que faire la guerre, ce qui lui coûte le titre de princesse. Pourtant, c'est cette façon de penser qui met en branle tous les événements qui s'ensuivent.

J'ai adoré la dynamique Grey et Lia Mara, ils sont adorables à leur manière. J'ai toutefois grincé des dents dans le dernier chapitre. Un personnage détestable refait surface et je me demande comment tout ceci va finir (j'aime les happy end).

En conclusion, ce deuxième tome est aussi addictif que le premier. Je n'ai pas vu les 600 pages défilées. Et j'ai vraiment hâte de lire le dénouement de cette série.
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En résumé : young adult - fantastique. Alors que chacun a choisi son camp et que les dés semblent jetés, les deux royaumes vont-ils vraiment s’entre déchirer ? La menace est-elle finalement bien celle que l’on croit… ?



En détail :



Ce troisième et dernier tome vient donc conclure la trilogie de Cursebreakers. La guerre fait toujours rage entre les deux royaumes et après les révélations du tome 2, chaque protagoniste s’est positionné dans le jeu politique. Les cartes sont donc distribuées, ne restent plus qu’à jouer la partie.



Quatre points de vue sont présents, les deux du tome 1 et les deux du tome 2, ce qui permet de bien englober la situation des deux royaumes. Cette convergence progressive au fil des tomes a permis au lecteur de s’habituer et de faire la transition tout en douceur et sans sentiment de complexité.



Ce tome s’attèle à conclure l’histoire, plus de grandes révélations mais des relations qui s’approfondissent et des situations qui finissent par se dénouer (pour le meilleur comme pour le pire). Le récit n’a pas été aussi palpitant que pour le précédent tome, en ce qui me concerne, car j'attendais des retournements de situations qui me semblaient promis au vu des deux premiers tomes. J’ai néanmoins retrouvé le confort de protagonistes connus et d’un univers construit. Le personnage d’Harper notamment, qui revient en force dans ce tome avec des coups d’éclats bien badass et des traits d’humour savoureux.



J’aurais bien aimé avoir plus de développements sur l’histoire de Lilith, voire quelques chapitres avec son point de vue. Idem pour le personnage de Karis Luran. Les personnages néfastes impactent beaucoup l’intrigue et apportent de la violence brute au récit qui aurait pu être plus développée pour ne pas être ressenti comme hors sol, sortie de nulle part.



Globalement, cette trilogie se lit facilement et rapidement. Si les tomes sont impressionnants en terme de taille, la police et les marges allègent considérablement la lecture.



De la même autrice : PS : Tu me manques

Dans le même genre : Rose éternelle, d’Ophélie Duchemin

En résumé : young adult - fantastique. On ne peut pas dire qu’ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants à la fin du tome 1, mais les protagonistes continuent de tisser cette histoire en accueillant de nouveaux fils dans cette trame pour sauver le royaume d’Emberfall.



En détail :



Si le premier tome commençait comme une réécriture de la Belle et la Bête, ce deuxième tome s’écarte clairement de cette trope avec une histoire fantastique plus classique. L’intrigue se poursuit avec un récit qui prend directement la suite du tome précédent. La narration reprend cette alternative de points de vue entre deux personnages, qui fonctionnait si bien. Mais cette fois, deux nouveaux personnages livrent leur point de vue : Rhen et Harper cèdent leur place à Grey et Lia Mara. D’ailleurs, la transition se fait tout en douceur car les premiers chapitres sont encore avec les points de vue du premier tome avant de s’effacer et laisser la place à la relève.



De nouveaux personnages font leur entrée dans l’intrigue et cela multiplie les possibilités pour le récit. Les souveraines de la Passe de Syhl, ennemies jurées du royaume d’Emberfall, vont proposer une alliance commerciale, mais les séquelles du dernier affrontement sont trop profondes dans le cœur de Rhen pour envisager cette possibilité.



Ce tome réserve plus de surprises, car la trope du premier est levée et le lecteur ne sait pas vers où va se diriger l'histoire. Un effet miroir se met en place entre les deux royaumes, avec deux sœurs héritières d'un côté et deux frères héritiers de l'autre. La romance qui se met en place est très bien menée et bouleverse les attentes politiques des royaumes.



Le bien et le mal sont assez ambivalent et il est difficile de classer les personnages dans une case ou une autre. Chacun semble avoir de bonnes raisons et on sent bien que la vapeur peut se retourner à tout moment. Globalement j'ai trouvé ce deuxième tome meilleur que le premier, et j'ai d'autant plus envi de découvrir la suite.



De la même autrice : PS : Tu me manques

Dans le même genre : Rose éternelle, d’Ophélie Duchemin

Ce deuxième tome, centré sur Grey et un nouveau personnage, m'a posé davantage de difficultés d'immersion. Il m'a fallu plus de la moitié du livre pour m'y plonger pleinement. Cependant, vers la fin, l'histoire a pris son envol avec plus d'action et de rythme, ce qui m'a captivé. Une fois embarqué dans l'intrigue, la lecture est devenue bien plus fluide.



Au fil de ma lecture, j'ai développé une préférence pour Grey par rapport à Rhen, et le personnage de Lia Mara m'a particulièrement séduit par sa combativité et sa bienveillance.



Je suis impatiente de découvrir la conclusion de leurs aventures et de voir comment tous ces conflits vont se résoudre.
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J'ai tellement aimé les 2 premiers tomes que j'en attendais peut-être trop de celui-là..

Le début m'a semblé long,très très long,je trouvais que ça tourné en rond pour pas grand chose,les 2/3 du livre au moins.

Et la fin est vite fait,alors que pour le coup elle aurait mérité d'être développée.

Un livre qui paraissait prometteur au résumé, et aussi aux critiques que j’avais vue sur les réseaux mais grosse déception…



Déjà le rythme est beaucoup trop lent, les chapitres sont interminables et on fait du sur-place dans l’histoire avec des péripéties beaucoup trop longue, j’ai vraiment décroché à la fin.

Ensuite, je n’ai pas trouvé d’originalité dans le texte, à la fin on se dit 700 pages pour ça, il ne se passe rien et le personnage d’Harper est insupportable