Extrait :

Avec mon anniversaire fin mars, ma sœur m’a offert l’un des tomes qu’il me manque pour arriver jusqu’au tome 10 de la série. Je l’en remercie beaucoup, car j’avoue avoir du mal à envisager de la continuer au prix du neuf, et malheureusement, il y a peu d’occasion sur cette série. Comme beaucoup d’autres d’ailleurs, les gens vendant de plus en plus en direct et en lot (comme moi, je ne me plains pas, c’est juste un constat).



Yûji recherche un nouveau compagnon pour son équipe, il aimerait surtout que ce soit une espèce volante, pour faciliter le transport des slimes, mais aussi pour espionner depuis le ciel. Si en plus, il peut lui-même monter dessus, ça serait le top. Sauf qu’il se rend vite compte que tous les monstres ne sont pas capables de communiquer avec lui, malgré sa compétence, ou alors de manière très simple. De quoi permettre de justifier, qu’il a si peu de monstre pour l’instant, là où on aurait tendance à dompter tous ceux que l’on croise, comme dans Pokémon. Ainsi, il pense se limiter aux monstres avec qui la communication est possible, et qui ne sont pas trop idiots ou extrêmes comme le Cockatrice qu’il a rencontré. Il prend donc son temps pour choisir les monstres les plus adaptés, quitte à choisir une espèce moins utile que l’autre. Ce sera le cas pour son nouveau compagnon ailé, qui servira surtout à transporter les slimes plus rapidement et permettre à Proud Wolf de rester à ses côtés. La troupe de slime continue également à s’agrandir, ce qui donne un sacré mélange !



Pour le reste la secte de la lune azur du salut continue à faire des ravages et Yûji, qui continue de les surveiller, est surpris de leur prochain plan… assez apocalyptique. Pour lui, cette nouvelle quête pour sauver son nouveau monde le conduira à une nouvelle rencontre des plus étonnantes et qui pourrait bien changer son quotidien. Tout cela en restant suffisamment loin pour que la secte ignore sa propre présence. Ainsi, même si groupe de monstre continue d’augmenter un peu, il reste toujours seul côté humain et je trouve cela toujours aussi dommage. Tout comme sa surpuissance qui continue de le faire réussir sans grands efforts, et le fait qu’il ne comprenne pas certaines choses. Je ne demande pas grand-chose, juste un compagnon humain qui rajouterai un peu de piment dans son groupe, femme ou homme peu m’importe. Seul point positif de la série, du coup, il y a peu de chance qu’elle tourne vers le harem et l’ecchi (deux choses que j’apprécie moyennement). Par contre, même si la secte ignore son intervention, elle risque de s’en prendre de nouveau à lui en apprenant la nouvelle de l’échec de leur plan de destruction… pour passer le temps au moins. Bon, par contre, ceux qui le feront ne seront pas les plus malins.



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Parmi les séries dont je trouve que l’intrigue avance doucement et perd un peu de son intérêt au fil des tomes. Yûji est littéralement un personnage cheaté, et il le montrera encore dans ce tome. Pour certains lecteurs ça peut plaire, moi-même j’arrive parfois à apprécier, mais pour cela, il faut qu’il y ait quand même une évolution du personnage, qui se fait alors plus souvent côté personnalité. Là et bien…



Autant y aller franco, puisque j’en ai déjà parlé dans une chronique précédente. Mais les personnages dans cette série, c’est une vraie catastrophe. Ils n’ont aucun intérêt, et comme l’intrigue reste assez simple et déjà vu, cela donne l’impression de n’avoir rien lu, et pourtant je me trouve à la fin du tome. C’est bien dommage car certaines petites choses sont sympathiques, notamment le design des équipements pour les monstres, leurs effets, et la réaction de ses monstres à ses changements. D’ailleurs, c’est bien les monstres qui m’ont fait continuer jusqu’à présents, puisqu’ils sont les seuls à être intéressant dans l’histoire. Les monstres de Yûji sont également les seuls à être intéressants, ceux qu’il affronte eux, s’avèrent inutiles, puisqu’au final, il les bats facilement quand même. Dommage que ses monstres ne restent qu’une extension de lui-même et qu’ils n’ont pas un peu plus d’utilité ou libre arbitre. Autant les slimes, c’est difficiles de les faire évoluer vu leur nombre, autant Proud Wolf mériterait un peu de travail.



Encore une fois, parmi les choses qu’il manque à la série, c’est tout simplement des compagnons humains à Yûji, qui s’accapare concrètement toute la scène. J’imagine même pas l’anime (je ne sais plus si la série en a un), le doubleur de Yûji aurait beaucoup de travail comparé aux autres. Il n’y a tellement pas d’éléments à évoquer, que j’ai du mal à parler de ce tome, comme les précédents d’ailleurs. Pourtant, la série était bien partie, notamment pour la phase d’examen. Mais là, depuis quelques tomes, c’est le grand vide. Il y a un complot qui trame dans l’ombre, Yûji qui ne souhaite pas se faire remarquer et qui s’en fiche, fini quand même par s’en mêler en mode tsundere. J’en suis même à souhaiter que Yûji se fasse rétamer par le premier noob qui passe, tellement l’histoire, son caractère et ses compétences sont rasoirs.



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Je continue cette série que j’apprécie beaucoup, mais malgré tout, j’ai de plus en plus l’impression de ressentir comme une sorte de vide. Yûji est littéralement seul, si on ne compte pas ses monstres, et je trouve vraiment que ça commence à devenir long et dommage (même si ça change d’autres séries). Avec les différentes hausses de prix, je réfléchis de plus en plus aux séries que je compte garder et continuer surtout. Certaines semblent déjà sur le banc de touche, mais pour d’autres c’est encore un peu compliqué de choisir.



Yûji a réussi à semer ses poursuivants assassins, ou plutôt, à les faire disparaître discrètement, sans attirer l’attention directement sur lui. Malheureusement, l’organisation semble implantée de partout, et continue donc son œuvre de destruction massive, de manière ingénieuse pour chaque région visée. Quant à Yûji, le hasard, ou plutôt le scénario, fait qu’il continue de leur tomber dessus, les stoppant dans leur élan. Manque de bol pour lui, cette fois-ci, il ne pourra pas empêcher un drame de commencer. J’apprécie beaucoup les univers de fantasy, isekai ou non, mais là j’avoue que je commence à avoir l’impression que l’on n’avance pas. Comme si l’histoire était cyclique, sans aucun rebondissement. L’univers de la série est impacté par le manque de personnages importants et de défis à relever pour le protagoniste. Surtout que la série n’est pas une tranche de vie, donc il faut du suspense, quelque chose qui intéresse. J’ai l’impression, pour ma part, qu’au fil des tomes, mon intérêt diminue pour cette série qui n’a rien de « surprenant ».



Côté argent, Yûji n’a pas non plus à se plaindre, et il pourrait largement vive une vie tranquille sans combat. C’est d’ailleurs étonnant qu’il ne l’ait pas encore envisagé, vu comment il semble ne pas aimer se battre. Au lieu de ça, il se demande comment monter en grade… obtient la solution rapidement, et la met en pratique tout aussi vite. Je veux bien qu’il soit un personnage de type cheaté, mais du coup, il n’y a vraiment rien à se mettre sous la dent. Ce n’est pas les quelques blagues et la surprise des autres personnages qui feront envie longtemps. Je me demande toujours si c’est la même chose dans la version light novel dans ce genre de cas. Mais bon, comme souvent, il est aussi très peu possible de vérifier, puisque celui-ci n’est pas publié en France (même si certains arrivent, et d’autres sont déjà là). J’en viens même à avoir du mal de parler de cette série, sans tourner en rond, preuve d’un certain vide, ou plutôt, que je n’ai rien capté d’intéressant à évoquer.



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Je continue d’avancer doucement mais sûrement dans ma lecture de la série, il faut dire qu’elle en est déjà à une dizaine de tomes. D’une certaine manière, cela indique qu’elle a du succès, et tant mieux pour moi, car j’avoue bien l’apprécier également. Même si d’un point de vue global l’intrigue est similaire à d’autres séries, Réincarné dans un autre monde arrive tout de même à s’en détacher et à proposer quelque chose bien à lui (elle ?). Bon par contre, la série à beau être populaire, c’est toujours aussi pénible pour trouver des images…



À peine arrivé qu’Yûji rencontre déjà des problèmes, enfin, pas lui directement mais plutôt le village entier. Victime d’une vague de froid imprévisible et qui semble durer, le village est à court de bois de chauffage. Sans oublier que les maisons ne sont pas équipées avec des cheminées, ce qui engendre de nombreux maux également. Sans aérations adéquats, les habitations où brule le bois, finissent remplies de monoxyde de carbone, relâché par la combustion. Heureusement, Yûji parvient à trouver un semblant de solution, en indiquant qu’il faut aérer, malgré le froid les habitations, de temps en temps. Pour le bois de chauffage manquant, il met directement les mains à la patte. Après plusieurs essais et l’aide de ses slimes, il réussit à produire une quantité étonnante de bois de chauffage, correctement séchée. Cette dernière information à de son importance, puisqu’un bois bien sec, rejette moins de toxicité dans l’air. Son travail n’est évidemment pas fait bénévolement, le village tient à lui payer, et il se retrouve donc avec une petite fortune.



D’ailleurs, en un sens, il a un peu arnaqué le village en fait ! Puisqu’il trouvera et détruira l’origine de la vague de froid qui n’était pas naturelle. Ainsi, il a vendu tout son bois au village alors qu’il n’en aura plus vraiment besoin. Après tout, s’il n’y a pas de cheminée, c’est bien que le village a toujours un climat assez doux et chaud. Au pire des cas, ils pourront revendre ce bois et en laisser une partie aux restaurants, mais c’est vrai que je n’ai pas pensé à ça au début. Même l’intrigue ne l’évoque pas, alors que j’aurais pensé voir un petit quelque chose. Peut-être que light novel l’a fait, mais que dans le manga, ce n’était pas utile ? Enfin, bref, avec tout ça, la lune d’azur continue de faire des siennes, et il semblerait qu’ils aient même une liste de personnes à surveiller puis éliminer si nécessaire. Comme toujours, notre flegmatique héros sentira le danger, et sera sans prémunir avec beaucoup de sagesse, et d’humour blasé.



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