Nationalité : France
Né(e) à : Bordeaux , le 18/09/1978
Biographie :
Daniel Fernandes est auteur de bandes dessinées.
Il a débuté dans le milieu du fanzine comme scénariste de Reflex, Spell et de La Fiancée du Tentacule chez Climax Comics, avant d'écrire le crossover Ozark/Spell et une histoire courte d’Homicron pour la collection Pocket de Semic.
Après la naissance du studio Makma dont il est l’un des membres fondateurs, il se professionnalise en créant le comic book "Division K", publié au Mexique, et en traduisant plusieurs bandes dessinées américaines pour Semic (Batgirl, Robotech, Transformers, Zero Hour, etc.).
Il a scénarisé avec Edmond Tourriol les séries parodiques "Banc de touche" (2010-2011) chez Kantik, avec Albert Carreres au dessin, et "La France de tout en bas" (2011) chez BAC@BD.
Avec la même équipe, il travaille sur la série "Zlatan Style", chez Hugo BD, dont le 3e tome est paru en mai 2015.
Il a également écrit, en compagnie de Stephan Boschat et Philippe Dos Santos, la série de mangas "Urban Rivals" pour les éditions Delcourt, avant d'entamer en 2016 le lancement de la série "L'équipe Z" (manga publié chez Kotoji) et le troisième tome de la série "Banc de touche", toujours en compagnie d'Edmond Tourriol et Albert Carreres.
Il est le président de l’association Superpouvoir, association ayant pour but de soutenir la création de projets de fiction sous toutes ses formes (bandes dessinées, prose, audiovisuel, multimédia, jeu vidéo) en aidant les créateurs et auteurs à réaliser leurs ambitions artistiques.
Je cherche des joueurs capables de faire la différence, même quand ils sont au bout du rouleau.
[...]
La récré est finie. Tout le monde sur le terrain. Les épreuves ne sont pas terminées. Vous allez en baver aujourd'hui !
Tu savais bien ce qui allait arriver en soortant comme ça ! Ta bourde va nous coûter ce qui était probablement le match le plus important de notre vie !
"Dieu seul peut me juger" ? Vous n'avez pas peur que ça ait l'air un peu prétentieux ?
Non, non, Zlatan n'a jamais été prétentieux. Ce tatouage est dû à une erreur, de toute façon. Le tatoueur ne parlait pas bien l'anglais et il a tout compris de travers. En fait, Zlatan lui avait demandé d'écrire : "Moi seul peux juger Dieu".