Vers la fin de "L'histoire de Mieke Maaike" :
(Pour bonne compréhension : un homme et Mieke Maaike sont dans la maison de l'homme, et sa femme rentre avec un sac à provisions)
Et parce que sa meuf n'arrêtait pas de hurler, je l’ai allumé un peu plus : "Donne-lui un putain de coup de gueule, pour qu'elle ferme sa tronche... Sors ton machin et va lui donner un bon coup de gueule."
Caressant son cul avec ma main, j'ai aussi caressé son trou à merde et ensuite ses couilles puissantes. Il s'est retiré oh dieu de ma moule, et avec la flûte raide en avant, pleine de la mousse de ma chatte, il lui a attribué un tel coup de poing qu'elle en a culbuté. Je suis restée couchée ma chatte ouverte. En riant, je l'ai reçu à nouveau. Et en riant, j'ai aussi dit : Ton salopard tout raide balançait de gauche à droite pendant que tu lui donnais cette baffe ! Je l'admirais et j'ai serré ma chatte autour de sa bite de héros. (...)
(ma traduction modeste du texte néerlandais)
Le début de l'histoire de Mieke Maaike :
Un jour, par une belle soirée d'été, l'étudiant Biteraide est venu me voir. Il bé-bégayait un peu, et j'aime bien ça, ça prend un peu plus de temps. Il avait envie d'entendre certaines choses de moi, et plus aussi, et je lui ai révélé ce que je pouvais. J'ai peut-être oublié beaucoup de choses, vous savez comment ça va, n'est-ce pas, on ne note pas tout ça sur du papier. J'ai fouillé au hasard dans mes machins, ça s'appelle des souvenirs, de dix-huit ans maintenant, et j'ai commencé par ma première aventure, lorsque j'avais environ neuf ans et qu’on m’avait hébergée dans un pensionnat.
C'était la visite mensuelle du médecin, qui s'est avéré être un vieux schnock espiègle et qui a jugé nécessaire, comme il l'a dit, d'examiner de plus près trois petites filles de l'école. Il s'agissait de Leentje et Marleentje, je m’en souviens très bien, et aussi de moi (...).
(ma traduction de la version néerlandaise)
J'ai roulé jusqu'à lui et me suis allongée sur son messager raide, la chatte grande ouverte. Je lui ai dit que je voulais sa flûte, que j'étais chaude pour ça, que je devais l’avoir dans ma moule. Ma chatte a faim de ta saucisse de graines raide, je lui ai dit. Je ne sais plus tout ce qui m’a encore échappé.
(Ma traduction du texte néerlandais)
Il a léché ma frivole foufounette, en y prenant un plaisir intense, cela, je pouvais le sentir. (...) Intérieurement, ça m'a plongé dans un état de plus en plus excité – la situation est à nouveau tendue, disent-ils dans ces cas dans les reportages - et j'ai senti que quelque chose allait se produire (...).
(ma traduction du texte néerlandais)
J'ai tordu et frotté ma chatte ouverte contre sa bouche léchante et assoiffée et j'ai immédiatement fait jaillir de ma foufoune tout mon bouillonnement, qu'il aimait tant. Il coulait sur son visage, juste comme ça, une fontaine bouillante qu'il a bue comme si c'était un jus de prunes au whisky. J'en ai perdu connaissance (...)
Dans la chambre à coucher, pour plus de sécurité et de saleté, nous avions verrouillé la porte, parce qu’on ne sait jamais. Là, il s'est aussi déshabillé complètement, comme un Dieu tout nu, et quand j'ai embrassé son ébranleur, celui-ci en tremblait d'agitation.(...)
(ma traduction du texte néerlandais)
Fin de l'histoire :
Voilà tout ce que j’ai fait savoir à l'étudiant Biteraide de tout ça, en terminant par ceci : J'ai dit, je vous remercie de votre attention.