Autrefois, il y a très longtemps, à l'emplacement du Sanitas, ce n'était que ruines. Les aviateurs anglo-saxons qui cherchaient la gare avec leurs bombardiers avaient dû longuement tâtonner avant d'ailleurs de ne pas la trouver. Pépère et mémère avaient eu là une petite épicerie-buvette qu'elle tenait pendant que mon grand-père courrait les chantiers.