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Biographie :

Monique Agénor est un écrivain français né en 1940 à Saint-Denis de La Réunion, département d'outre-mer et région ultrapériphérique de l'Union européenne dans le sud-ouest de l'océan Indien. Auteur d'ouvrages salués par la littérature réunionnaise, elle est par ailleurs la scénariste de plusieurs films documentaires, comme par exemple Taq' pas la porte (Ferme pas la porte) en 1988 et La Route cachalot en 1991. Dans sa jeunesse, alors qu'elle vivait en France métropolitaine, elle a joué le rôle d'Eugénie dans deux épisodes du Temps des copains diffusés en 1962.

Créolie, avec Jean-François Sam-Long, UDIR, 1984.
Bé-Maho : Chroniques des îles sous le vent, Le Serpent à plumes, 1996 – ISBN 978-2842610074.
Comme un vol de papang', Le Serpent à plumes, 1998 –ISBN 978-2842610739.
Le Châtiment de la déesse, Syros, 2000 – ISBN 978-2841468423.
L'Aïeule de l'île Bourbon, Éditions L'Harmattan, 2000 – ISBN 978-2738422347.
Cocos-de-mer, Le Serpent à plumes, 2000 – ISBN 978-2842612283.
Plongée dans l'île aux tortues, Syros, 2001 – ISBN 978-2841469048.
Les Enfants de la colline sacrée, Syros, 2005 – ISBN 978-2748502749.

1994 Prix des Mascareignes, pour L'Aïeule de l'isle Bourbon.
1997 Finaliste pour le Prix Carbet de la Caraïbe et pour le Prix RFO, pour Bé-Maho.
2001 Chevalier de l'Ordre des Arts et des Lettres.
2007 Auteure invitée, International Writers' and Translators' Centre, Rhodes (Grèce).

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Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
Elles étaient belles ces tombes, elles le sont toujours,
quoique en ruines.

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Ils vous vendaient, vous échangeaient contre des munitions ou même quelquefois contre des objets de pacotille.
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D’autres enfin préfèrent taper sur le tambour tam-tam ou souffler dans la conque pour effrayer madame Desbassyns qui ne supporte pas ces signaux de ralliements de ses anciens esclaves.
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La prudence s’imposait. Vous passiez outre, tant vous vous croyiez protégés par vos sorciers.
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Si le bonheur s'arrête en chemin, se dit-il, le malheur jamais ; il fonce droit sur vous.
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Elle se prenait à penser que ce n’était pas tant des feuillets qui la caressaient, mais des mains souples et furtives chargées d’images sensuelles, celles que lui révélaient les textes calligraphiés. De mouvement en mouvement, de rythme en rythme, la nébuleuse divine, dont elle respirait les odeurs parfumées, se rapprochait d’elle à chaque fois davantage jusqu’à finir par mêler son souffle au sien, son esprit au sien, son énergie à la sienne.
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Au-dessus de l’île, un ciel étoilé où l’étranger fait voir à Priscilla les images mystiques qui, selon lui, révèlent le destin de Rodrigues et de ses habitants. Parmi elles, des étoiles distribuées de telle façon qu’elles retracent, de point en point, le corps du Solitaire. Il suffirait, dit l’étranger, de savoir lire les signes contenus dans le ventre du Solitaire pour y lire sa vie
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Dans le somnolent bord-de-jour des lendemains de grands coups de vents, il n’est pas rare que les habitants de la ville de la Possession, ancien territoire du Roy de France, voient tournoyer au-dessus de la Ravine à Malheurs, brassés par de lents nuages fatigués de leur forte nuit, un madras de soie rouge et un chapeau de paille de vétiver.
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C’est ainsi que, lentement, par paliers, je pris conscience d’avoir été la créatrice de mon Dieu-Père. D’avoir modelé une statue en fonction de mes besoins, mes désirs, mes projections (…) Tâtonnant pour chercher à toucher, voir, sentir encore cette idole que j’aimais tant, dont j’avais tant besoin, je ne faisais que la désagréger un peu plus, amas de pierres gisant à mes pieds (…) Le choc fut terrifiant.
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Son corps en fait, elle ne le discerne plus très bien. En chutant dans l’eau, il s’était un peu disloqué.
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