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Citation de Alfaric


Et c’est ainsi que vint la fin. Le soleil reprit sa course, ainsi que les saisons. Et sur le terre libérée, la vie et la mort roulèrent, enlacées, avec l’eau des torrents… L’eau qui emporta les cadavres des fées et des enfants qui avaient péri de faim… Les cadavres des naïades, ou des femmes trop épuisées pour continuer à marcher… Les cadavres de tous ceux que le règne divin d’Erkor avait tués, et des êtres magiques qui, pour sa mort, venaient de se sacrifier… et mes dieux ne furent plus. Et les fées ne furent plus… Et les naïades, les dryades, les esprits des champs et des prés, des bois et des chemins, les sirènes et les ondines… Eux aussi ne furent plus… Mais les humains survécurent… et la lumière des dieux morts leur fut rendue.
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