Citations de Anonyme (7408)
Dans la vie nous devons avoir un peu d'humour ! La Béotie dans son «Discours de la servitude volontaire» nous dit: Le maître n'a rien de plus que le dernier habitant de nos villes. Cette phrase est une tisane efficace qui calme l'arrogance des leaders de tous les temps.
Une orge, cela ressemble à une fille : elle s'accroît rapidement Alors que le blé, c'est comme un garçon : il grandit lentement « Adage d'anciens céréaliculteurs »
«Etat de grâce », c'est la dénomination traditionnelle des premiers mois charmants que vivent les présidents de la République française, après leur victoire électorale. Mais les difficultés arrivent bien vite et les Français commencent vite à râler. C'est la période que traverse aujourd'hui Emmanuel Macron. Certes, il a largement utilisé au début son image de chef d'Etat jeune, sympathique, dynamique, qui donnait l'impression d'être attentif à chaque Français, et surtout toujours souriant. Mais le sourire est devenu un peu crispé. Car les difficultés s'accumulent et les Français manifestent un mécontentement croissant
Si on ne peut affronter un ennemi, on l'ignore
«La lâcheté ne sait pas profiter des leçons que la générosité lui donne».
Toute culture n'est bonne que si le bien l'entoure
Dans une guerre il ne peut y avoir que des assassins. Il y aurait des traîtres mais aussi beaucoup de lâches.
En France, la crise économique et sociale s'est transformée en crise politique. Le mouvement des «Gilets jaunes» réclame désormais la démocratie directe, ce vieux rêve de l'humanité, ou du moins une transformation profonde du vieux système de la démocratie parlementaire qui a longtemps géré la démocratie occidentale.
Où l'on reparle de la Révolution de 1789
«Aucun être ne mérite qu'on se soumette à ses désirs pour quelque faveur. Pareille tentative diminue notre intérêt porté à la religion. L'être humain est incapable de nous offrir le moindre objet. Sans avoir été mandaté par celui qui nous a façonnés et de terre sculptés*.»
«Nous sommes tous des immigrés, il n'y a que le lieu de naissance qui change».
La face à face absurde que joue le monde d'aujourd'hui. D'une main on vous invite et avec l'autre on vous tire sur le dos. Tout nous laisse dire que les humains ont perdu la raison. Ils ne savent plus quoi faire de leur vie. Les puissants demeurent cupides et sans foi et les pauvres ont cessé de croire aux vertus du travail et tentent vainement d'imposer leurs voix. Les humains de nos jours s'accusent mutuellement et aucune sortie de la crise des valeurs n'est à l'horizon du moment que l'amour et la paix ont quitté les maisons. La guerre des cultures et des religions refait surface en mettant le monde dans une situation périlleuse et chargée de stress et d'angoisse.
Quand on perd la boussole on tombe dans un sentier sombre qui fera de nous des figurines sans ombre
« le football n'est pas une affaire de vie ou de mort, c'est plus que cela »
Le bon politique, affirmait J.F. Kennedy, «c'est celui qui sait garder ses idéaux, tout en perdant ses Illusions».
Quand les abus sont accueillis par la soumission, la puissance usurpatrice les érige en lois...
Si les humains vivent des moments de peur et de panique, c'est parce qu'ils ont délaissé l'essentiel et le durable au profit du secondaire et de l'éphémère.
Argent et pouvoir font partout bon ménage et sont perçus à juste titre comme pile et face d'une pièce de monnaie, et la forte fascination qu'ils exercent sur tout un chacun ne s'explique que par le fait qu'en possédant l'un on peut accéder à l'autre.
Dans mes voyages j'ai appris trois choses. Les mensonges ne mènent pas loin. En politique on ne choisit pas son Romeo ou sa Juliette. Les intérêts étroits vous imposent un Romeo quand vous préférez une Juliette.
«Il faut de l'intelligence pour gagner de l'argent. Mais il faut surtout de la culture pour bien le dépenser.»
Certaines mères ne sont pas faites pour être mères .