Des coups qui n'auront pas laissé de traces, des humiliations dont le récit ne fut jamais prononcé, des violences sournoises dont nul ne songea que l'histoire peut se raconter, comme si des 'faits' ne devaient pas être interrogés-combien de corps portent le texte illisible?Combien aussi de gens convaincus que l'histoire consiste en cette confusion et en ce devoir d'en reproduire les empreintes dans une éducation conforme?Pour le bien de ceux qui suivent.