Après Pavie et ses conséquences, il faut donner un nouvel élan à ce que les historiens appelleront ensuite « le second règne » de François Ier. Si le navire de Jacques Cartier peut, un temps, incarner les espoirs politiques d'un roi de France dont l'horizon italien se bouche progressivement,il s'abîmera très vite dans l'échec d'une expérience ultramarine dont la précarité nourrira – et pour longtemps – un puissance imaginaire.