— Franz ?
— Fraïl-n Julie ?
— Tu as raison...
— J'ai raison ?
— Cette pension est comme un rêve...
Alors, je prends une voix gutturale ; l'air faussement ironique :
— Je cherche la fleur du temps, le pays où l'on ne meurt jamais.
[Chapitre IX : "RÊVES AU BALCON", page 47 — éd. Stellamaris, 2015]