LE CHŒUR. Connais ta destinée, réfléchis au malheur présent dans lequel tu es tombée. Tu combats contres tes maîtres, toi fille d'Ilion, contre la fille des rois de Sparte. Laisse ce temple qui reçoit les brebis offertes à la déesse de la mer. Quelle utilité y a --il à consumer ton corps à cause des violences de tes maîtres ? Leur puissance te vaincra. Pourquoi tant d'efforts et de peines, quand tu ne peux rien, toi qui n'es plus rien ?
Parodos, Antistrophe I