Icar

L’histoire continue sur sa lancé en gardant comme il convient un peu de mystère. Sans être exceptionnelle, l’intrigue est suffisamment intéressante pour ne pas ennuyer. Le point fort d’Ultime Frontière vient surtout de Jane et John qui sont très attachants et plutôt doués pour les missions dangereuses. Une petite série sympathique joliment dessinée.

Mon avis sur cette série ne change pas à la lecture de ce tome 4. Même si dans celui ci le scénario se concentre sur Paul et la recherche de son père, qui a repris après que celui ci l'ai aperçu alors qu'il le croyait mort. Les retrouvailles soulèvent d'ailleurs un autre mystère assez inattendu, je dois l'avouer. Mais ce mystère n'est pas imédiatement pris en compte puisque les évènements se précipitent et un rebondissement enfin important conclut ce volume.

Le récit continue dans sa lignée. Je déplore encore une fois l'intervention de Mr Step, toujours là quand il faut, et toujours présenté comme un personnage invincible, la résolution des problèmes se faisant toujours et systématiquement hors champ. Je trouve cela dommage et un peu trop facile de la part du scénariste pour tirer son héros de mauvais pas. Héros qui est loin d'en être un tellement il est naïf et faible. Il est confronté à de grandes menaces qui feraient frémir même les plus endurcis mais lui s'en tire toujours grâce à l'intervention miracle d'un tiers.

Cependant la lecture se fait plaisante, et l'auteur met dans son histoire suffisamment d'intérêt pour nous garder en lice.

Je persiste et signe avec ce tome 3 alors que je n'étais pas convaincu par les deux précédents. Les péripéties de Paul se poursuivent et elles sont plutôt étranges voire mêmes décousues. Il est difficile de deviner où souhaite nous emmener l'auteur tellement les évènements qu'il nous propose sont dénués de toute cohérence, en apparence en tout cas. Diificile de le suivre et délicat de se prononcer sur une quelconque direction dans laquelle il promet de nous emmener car le scénario est complètement délayé dans une succession d'évènements sans aucun lien. A l'image du héros, le lecteur est totalement balloté d'une scène à l'autre et ne peut que subir en se demandant ce qui lui arrive. Mais où peut bien vouloir en venir l'auteur?

Il donne l'impression que son héros, Paul, à la recherche de son père disparu, est tellement influençalbe qu'il finit par se moquer complètement de celui ci. Et c'est le cas lorsqu'il découvre que celui ci est certainement mort. Mais alors pourquoi avoir insisté sur sa mort si c'est pour s'en détacher aussi facilement et avec autant d'indifférence?

Décidément, cette série est plus qu'étrange! Serais je passé à côté de quelque chose? Ou bien est ce là l'oeuvre de l'auteur? Mieux nous perdre pour mieux mettre en valuer des évènements à venir? Difficile de se positionner.

Ma curisosité me pousse à ouvrir le tome suivant. J'espère que cela en vaudra la chandelle....

Cet ouvrage est le premier tome de la série Terres lointaines. Léo, associé pour l'occasion à Icar nous amène sur la planète Altair-3 où se trouve une colonie humaine. L'action débute avec l'arrivée d'une navette spatiale dans laquelle on trouve une famille venue rejoindre le père déjà installé sur la planète. La mère et les deux enfants Paul et Daphné ont la mauvaise surprise de constater l'absence du père à l'arrivée et ne savent pas comment le localiser. Cette famille devra donc subvenir à ses besoins mais aussi partir à la recherche du père disparu. Heureusement, pour relever ses défis ils pourront compter sur quelques colons et sur un curieux extra-terrestre.



Si on retrouve dans cette série les thèmes chers à Léo (une colonie isolée sur une planète lointaine), ici le scénario, quoi que cohérent et intéressant, se trouve quelque peu desservi par des dialogues peu recherchés voire simplistes. Cette pauvreté dans les dialogues fait que les personnages sonnent creux, manquent d'épaisseur. Les graphismes quant à eux semblent de moins bonne qualité que ceux que l'on trouve dans les mondes d'Aldébaran. Les visages des personnages notamment, du fait d'un tracé assez peu détaillé, ne permettent pas d'identifier l'âge des différents protagonistes.



En résumé, je suis un peu déçu par cet album qui ne supporte pas la comparaison avec les mondes d'Aldébaran. Espérons que dans les tomes suivants les auteurs sauront corriger les dialogues mais aussi soigner la qualité des dessins.

"La Tentation des Fous" est une trilogie fascinante et complexe, riche en intrigues imbriquées. La complexité des mondes et la profondeur de l'écriture sont véritablement impressionnantes. L'auteur parvient brillamment à tisser des liens entre chacun des univers, offrant une vision géopolitique nuancée et détaillée. Les planètes Fatna, Atolu, Freeport, Avalon, Icarius, Taylo et Concordia sont aussi variées que les personnages principaux, chacun doté d'une psychologie intrigante et bien développée.



La capacité de l'auteur à créer des mondes distincts et captivants, tout en maintenant une cohérence narrative, est remarquable. Chaque planète possède ses propres caractéristiques uniques, reflétant les divers aspects de l'univers complexe imaginé par l'auteur.



J'attends avec impatience la sortie du tome II.
Lien : https://www.latentationdesfo..

L’histoire avance un peu et se tient malgré quelques invraisemblances. J’ai trouvé quelques erreurs (de traductions ?) dans le texte, c’est quand même dérangeant. Mais le dessin… qu’est-ce que c’est mauvais ! Les femmes ont des seins qui débordent de leur décolleté, les visages sont mal faits c’est à peine si on distingue les hommes des femmes (d’où sûrement l’intérêt de la surabondance mammaire ?) et parfois, d’une case à l’autre le même personnage a une tête différente.

Bon. Je continue ma lecture pour l’histoire

Si vous êtes curieux et que vous aimez l'évasion dans des mondes futuristes, cet album est pour vous. Le graphisme couleur est sympa. La première bulle comporte un défaut de concordance des temps et de nombreuses bulles sont inutilement longues. Certains écarts technologiques sont paradoxaux : usage de robots-prostituées et de robots archéologiques enfouisseurs mais bateaux en bois et à voiles... L'extraterrestre STEP est doté de certains pouvoirs parfois à peine croyables (un peu too much). A part ça, rien à redire, j'ai pris un grand plaisir.

Pour la série : Décevant!

On retrouve la patte de Léo dans cette histoire, mais les dessins d'Icar sont moins aboutis.

L'histoire elle même est moins aboutie, moins prenante que la saga d'Aldébaran, et même le bestiaire moins réussi. Mais je pense que Léo, très (trop) sollicité se perd dans les scénarii divers et variés et les collaborations successives n'arrivent pas à égaler son talent personnel.

C'est dommage car on reste sur ces idées chère à Léo de colonisation d'autres mondes, le mystère autour d'une intelligence ancienne et imposante, mais rien de passionnant n'en ressort après un long accouchement de 5 tomes....qui m'ont couté 5x12 euros car j'ai fait l'effort de donner une chance à cette histoire.

Bref, tournez bous plutôt par les cycles d'Aldébaran, Bételgeuse....etc, 100% pur Léo.

Le dernier épisode de la série se conclut un peu rapidement mais au moins toutes les pièces du puzzle s’assemblent enfin. Presque pas de difficulté pour le jeune Paul cette fois, tout s’arrangera à merveille pour lui. Cela semble un peu trop facile à mon goût comme si l’auteur n’avait plus le temps ou plus l’envie de continuer à développer son histoire. J’ai quand même bien aimé cette saga dont le scénario n’est pourtant pas au niveau des autres productions de Leo mais où l’on retrouve son style particulier et j’ai aussi beaucoup apprécié les dessins d’Icar ce qui me donne envie de lire Ultime Frontière, une autre série conçue par ses deux complices.

Un quatrième tome plein de rebondissements ! L’histoire se concentre cette fois sur Paul et son père et les retrouvailles seront assez mouvementées. C’est aussi le retour de Stepanerk, l’étrange extraterrestre. Un personnage que j’aime beaucoup. Bref ! Loin des errances des premiers albums, le scénario semble enfin plus cadré. Une crainte quand même, il ne reste plus que le cinquième épisode pour en terminer avec tous les mystères restant à découvrir sur Altaïr-3. Cela me semble un peu court. Nous verrons bien…

Paul poursuit son voyage sur Altaïr-3. Il fait de nombreuses rencontres, vit quelques aventures mouvementées et découvre la faune de la planète mais c’est déjà le troisième tome et on se demande un peu où tout cela va nous mener ? L’auteur multiplie les pistes pour nous diriger ensuite dans une direction opposée. En tout cas, c’est une balade agréable et j’aime beaucoup les dessins d’Icar. Espérons que les pièces du puzzle se mettent en place dans le prochain tome. J’ai hâte de savoir le fin mot de l’histoire.

Paul poursuit son voyage sur Altaïr-3 à la recherche de son père. L’occasion pour le lecteur de découvrir une planète étrange peuplée d’animaux dangereux. Un monde de pionniers, violent et sauvage pour lequel le jeune homme n’est pas vraiment taillé. Le scénario de Leo et les superbes dessins d’Icar forment une aventure dépaysante très agréable à suivre.

Aucun doute ! C’est Léo qui nous a concocté ce scénario. On retrouve un peu le même univers que dans Aldébaran et Bételgeuse. Une planète récemment colonisée par les humains et un jeune homme qui en découvre petit à petit les secrets. Bien sûr, l’histoire n’est pas la même mais la faune étrange et le mystère ambiant font à coup sûr penser aux autres BD de l’auteur. Ceci dit, ce n’est pas pour me déplaire car j’adore découvrir de nouveaux mondes. Les premiers tomes servent en général d’introduction et pour véritablement entrer dans le vif du sujet, il faut attendre la suite mais ici, tout ce fait en douceur et n’empêche pas de nombreux rebondissements. Je ne connaissais pas Icar, ce dessinateur a beaucoup de talent, j’adore son style et cela ajoute encore à l’attrait de cet album. Voilà donc un début prometteur, espérons que la suite soit aussi prenante.

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire cette BD entre réel et fiction.

Certes, il y a des cyborgs, certes il y a des engins volants futuristes, mais il y a aussi ces clans, ces mafias au centre des débats.

Et puis, il y a aussi cette histoire familiale avec un enfant qui prend la tête du clan....un enfant terrible !

Sans être transcendant, c'est intéressant.

Des cartels dans un monde futuriste, qui s'écharpent pour prendre le pouvoir. Et le chef de tout ça, est un enfant de 12 ans...

Encore un cartel s'attaque à Don Cenetone...et encore un cartel va disparaître....!

De beaux combats, de belles double pages...

Une série intéressante, mais pas captivante.



Alors que ce dernier tome débute par le meurtre de la mère de Don Cenetone, il finira par une chute pour le moins inattendue !!!!

Les personnages sont de moins en moins crédibles. Ils sont ou très méchants ou très gentils. Pas de nuances. Et surtout, notre héros a une chance folle : une rencontre avec un méchant se résout immédiatement par l’intervention d’un gentil. Mais il y a tout de même un soupçon d’histoire qui fait qu’on a envie de continuer notre lecture.

Ce cinquième tome clôt très bien le cycle. Je me rends compte que je me suis beaucoup attaché aux différents personnages, qui sont assez nombreux. A part, l'évacuation saugrenue des êtres évolués qui habitaient Altaïr avant les humains (n'auraient-ils pas pu cohabiter comme le font les stepanercks ?), tout se tient, tout s'éclaire. Une bonne expérience pour moi.

On se croirait parfois dans "Candide" de Voltaire, tant notre héros Paul est benêt dans ce nouveau far west du futur qu'est la planète Altaïr. D'ailleurs, cet album pourrait être comparé car il y a beaucoup de réflexion second degré sur notre société humaine et ses dérives stupides, fort astucieusement soulignées par l'autre Candide : Monsieur STEP. La fin ménage le suspense : mais que s'est il passé ?