Les relations humaines, comme nos existences, ont tendance à s’embarrasser du superflu, dit-il. Les cartes de Saint-Valentin, les gestes romantiques, les rendez-vous amoureux, les termes affectueux grotesques… L’ennui et la pesanteur des rapports timorés et conventionnels déjà condamnés avant d’avoir commencé. Mais si on supprime tout ça ? Il y a une sorte de pureté dans une relation débarrassée des conventions, un sentiment de simplicité et de liberté.