AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Karensac (57)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


La soutenable légèreté de l'être

Quelques jours avant son trentième anniversaire, Eléonore, alias Lolo, n'est pas bien.

Elle a mal au ventre.

Dans son entourage, chacun

- a sa petite idée : elle a toujours somatisé, elle continue ;

- y va de son conseil (scato).



Quand deux lettres (in) font toute la différence !

Cet album est aussi superficiel et vide que le roman de Milan Kundera* est profond et riche.

Ici : nombrilisme et futilités.

Cent pages pour ne pas raconter grand chose.

Le dessin rond et mignon rattrape un peu le coup, et l'auteur exprime plutôt bien les angoisses qui liquéfient.

Heureusement que les couleurs indiquent les périodes de la vie de la narratrice : elle a la même tête à dix ans qu'à trente…



Des BD intéressantes sur les angoisses, la dépression :

- Goupil ou face (Lou Lubie et Isabelle Leygnac-Solignac)

- L'effet kiss pas cool : Journal d'une angoissée de la vie (Leslie Plée)

...

____



* 'Nesnesitelná lehkost bytí'

en VF : 'L'Insoutenable Légèreté de l'être', 1984
Commenter  J’apprécie          330
Aubépine, tome 2 : Le renard furax

Suite aventuriers d'Aubépine, l'automne arrive mais ça ne se passe pas comme prévu. Le renard doit prendre la rélève, il est furieux quand il voit qu'il ne peut pas et essaye à tout prix de retrouver sa place.

Toujours aussi enjouée, cette Aubépine, les aventures ça ne lui fait pas peur ! Mais quand il semble sacrément énervé ce renard. Les chevaliers châtaignes sont bien drôles, comme la tête du père quand il s'extasie devant eux. Ma fille l'a déclaré série BD préférée donc c'est une référence, non ?

Les dessins sont très doux, aux formes rigolotes. Une bonne idée pour commencer l'automne !
Commenter  J’apprécie          220
Aubépine, tome 1 : Le Génie Saligaud

Je remercie beaucoup les éditions Dupuis et Babelio pour l'envoi de Aubépine, le Génie Saligaud. J'ai eu la chance de le remporter lors de la dernière masse critique.

Entre les montagnes, dans une vallée perdue que la civilisation n'a pas encore pu trop atteindre, tous les quinze ans, une grande migration d'oiseaux gigantesques ravage tout sur son passage, et surtout le petit village en bordure de la vallée. C'est dans ce village qu'Aubépine se voit contrainte de suivre ses parents, afin que sa mère, une éminente scientifique, puisse endiguer la nouvelle migration.

Seulement voilà, Aubépine est une citadine, et le changement brutal d'environnement ne lui plaît guère. Elle se retrouve malgré elle à vagabonder dans la montagne, où elle fera notamment la rencontre d'une mystérieuse bergère, d'un petit chiot qui devra lui servir de compagnon autant que de gardien, et surtout d'un génie ancestral perdu au fond de la forêt: le Génie Saligaud.

Aubépine est une petite fille attachante et marrante. Le Génie Saligaud m'a fait rire, on peut dire qu'il porte bien son nom ;)

Je ne connaissais pas du tout Thom Pico et Karensac. J'apprécie leur collaboration :) Les illustrations sont très sympathiques, j'aime les traits qui ont été donnés à Aubépine et aux différents personnages qui l'accompagnent.

L'histoire m'a plu. Mon regret concerne la fin, un peu abrupte et qui m'a.. laissée sur ma faim :) Maintenant, il va falloir que je me trouve le tome deux !

J'aime beaucoup lire des bandes dessinées de temps en temps et celle ci m'a conquise. On a une bonne histoire, de l'humour, des personnages attachantes, des illustrations très très chouettes, bref cette bande dessinée est une réussite :)

Ma note : cinq étoiles, évidemment !
Commenter  J’apprécie          220
Aubépine, tome 1 : Le Génie Saligaud

Belle petite découverte que cette Aubépine...!

Elle vient habiter à la campagne, dans un petit village, avec ses parents. Sa mère est une scientifique qui doit s'occuper de la prochaine grande migration d'oiseaux qui arrive tous les quinze ans. En attendant, Aubépine, elle s'embête, elle joue aux jeux vidéo mais on fait vite le tour, surtout qu'il n'y a pas beaucoup - du tout- de personnes de son âge quand son frère part en ville. Mais quand on se promène dans la vallée, on peut rencontrer de drôles de gens !

Elle n'a pas la langue dans sa poche ! Et elle est assez maligne. Dans ce tome, il est question d'un génie (tout est dans le titre), une drôle de rencontre, c'est sûr ! Très drôle, ma fille a adoré (elle l'a relu 4 ou 5 fois) ! Les dessins sont bien ronds, colorés. Les bouilles sont avenantes, la faune et flore un peu fantastique...

Peut-être que les prochains tomes aborderont cette fameuse migration...? A suivre !
Commenter  J’apprécie          210
La soutenable légèreté de l'être

Bilan plus que mitigé pour une histoire dans laquelle je ne suis pas rentrée.

L'histoire ne m'a pas parlé et je n'ai pas du tout trouvé ça intéressant.

Le propos est hyper nombriliste et ne raconte pas grand chose, les personnages ne me jamais apparus comme sympathiques.

Je suis peut-être passée à côté de quelque chose mais cette BD ne présente, pour moi, aucun intérêt.

Le dessin est assez sympa par contre, simple et rond. Il se modifie et se déforme dans certaines circonstances, j'ai trouvé l'idée sympa même si je n'ai pas trouvé cette forme très esthétique.
Commenter  J’apprécie          100
Aubépine, tome 2 : Le renard furax

L'été a laissé place à l'automne.



La BD se pare donc par moments d'une très belle colorisation qui fait la part belle aux teintes jaunes, orangés et rouges. On baigne dans la saison.

Le dessin de Karensac est toujours aussi chouette, parfait pour ce ton jeunesse, et les nouveaux ajouts au bestiaire de la Vallée ont des designs réussis voire carrément trop choupis (les Chevaliers Châtaignes, et le bébé renard qui fera fondre tous les petits cœurs).



C'est frais et mignon, ça fleure toujours autant l'aventure.

L'histoire se lit avec grand plaisir même quand on est adulte, le "background" et la mythologie instaurés dans la série se développent, certains personnages secondaires gagnent un peu en épaisseur pour les anciens ou se font immédiatement attachants pour les nouveaux.



Une bien chouette lecture, douce et drôle. Et une très bonne série dans l'ensemble.
Commenter  J’apprécie          60
La soutenable légèreté de l'être

Je suis plutôt preneur de ce genre d'histoire mais en l'occurrence, cela n'a pas du tout pris. Je pense avoir détesté d'emblée une héroïne qui est hypocondriaque et angoissée à longueur de journée.



Elle est surtout assez détestable dans ses relations avec ses parents ou même ses amis. Et puis, il y a tout ce côté démarrage scato qui a finit par me rebuter au plus haut degré. Si on ajoute ce côté hyper nombriliste, alors c'est la totale.



Les dialogues m'ont pas du tout séduit car ils sont parfois d'une grande vulgarité et non-respect. Par contre, le dessin reste tout à fait convenable dans une simplicité et une rondeur du trait.



Cependant, je n'ai pas trouvé mon compte et au final, le bilan est plus que mitigé.
Commenter  J’apprécie          60
La soutenable légèreté de l'être

Lolo a la trentaine et des maux de ventre qui la conduisent à l'hôpital. Les médecins ne trouvant pas d'explication rationnelle à ses douleurs, on lui suggère que son mal est d'ordre psychologique. Envahie par des angoisses depuis des années, elle épuise les médecins avec ses "maladies" imaginaires et sa famille essaie, tant bien que mal de la libérer de ses peurs. Ses parents ont notamment une façon un peu spéciale de la confronter à son mal être.

Le personnage de Lolo est attachant et les hypocondriaques se retrouveront en elle notamment dans les passages chez le médecin ou lorsque l'héroïne consulte Internet pour savoir de quoi elle pourrait bien souffrir.

J'ai trouvé que le sujet était traité avec humour et réalisme mais certains passages m'ont semblés un peu confus. Les flash-back incessants m'ont un peu perdue. De plus, j'ai eu parfois du mal à distinguer certains personnages qui se ressemblent, ce qui donne aussi au récit, je pense, cet aspect décousu.
Commenter  J’apprécie          60
Aubépine, tome 1 : Le Génie Saligaud

J'avais envie de lire cette bande dessinée jeunesse depuis un moment, c'est maintenant chose faite !



Cette BD jeunesse est vraiment très sympathique et parfaitement adapté pour l'imaginaire des petits bouts !



Bon, bien que l'histoire fasse penser à la série Hilda avec son univers plein de créatures et d'aventures, le style est un petit peu différent et l'histoire est plus longue. Les graphismes font aussi le charme de l'œuvre, pleins de couleurs de ci de la. On y trouve dans les décors, plusieurs petits clins d'œil à d'autres séries, il y a pas mal d'easter et pour les plus grands et parfois, certains sont adaptés aux plus jeunes.La BD est certe destinée à un jeune public, les plus grands peuvent la lire sans problème.



Hâte de lire la suite ! Je la recommande sans soucis !
Commenter  J’apprécie          40
La soutenable légèreté de l'être

Éléonore Costes nous délivre ici une bande dessinée très intimiste, puisqu'il s'agit d'un récit autobiographique. Elle arrive, en toute simplicité et totalement à l'aise - genre, totalement -, à partager ses doutes, ses pensées, ses questionnements, ses peurs, son enfance, ses relations... et surtout à mettre le doigt sur une chose très importante, notamment pour les jeunes femmes, qui est la peur de ne pas être prise au sérieux sur sa souffrance physique et mentale. Bref, une transition à l'âge - vraiment ? - adulte qui ne se fait pas ici sans douleur, mais qui finit par donner de belles fleurs.



Les dessins de Karensac sont vraiment au top, très simples, en belle ligne claire, avec des plans maîtrisés et des personnages très expressifs. Elle arrive très bien à rendre une ambiance - souvent pesante, parfois légère - et à retranscrire des émotions dans leurs extrêmes. Lorsque l'héroïne ressent, exprime, déborde, ça se voit et ça se sent. Du bleu pour le présent, du jaune pour les flash back : un peu comme si le soleil de la jeunesse était caché par un sombre nuage et faisait déjà place, au crépuscule de la trentaine, à la nuit. Cette simplicité donne un tout cohérent et harmonieux, qui aide aussi à bien se repérer. Bref, ça donne envie d'aller jeter un coup d’œil à son autre bande dessinée, sortie récemment (et qui va avoir un tome 2) : Aubépine.



(voir la critique intégrale sue le blog)
Lien : http://lecombatoculaire.blog..
Commenter  J’apprécie          40
Aubépine, tome 2 : Le renard furax

Après le tome 1, je me suis lancé dans la lecture du tome suivant.

Cette fois, Aubépine doit empêcher le roi de l'Automne de prendre la place de la reine du Printemps. Il est illustré par un renard plutôt impulsif et très colérique. Un adversaire difficile à contrer pour la petite fille.



A cette histoire s'ajoute dess dessin magnifiques et un humour adapté aux plus jeunes lecteurs.



Bref, si ce n'est pas encore fait, lisez donc cette bande dessinée ! En plus, il y a des easters egg dans les différentes pages de la bd (adventure Time trouvé !)
Commenter  J’apprécie          30
La soutenable légèreté de l'être

J'ai beaucoup ri lors de la lecture de cette BD. Des réflexions complexes sur la vie et la trentaine - argh j'y suis aussi en plein dedans -, contrebalancées par une pointe d'humour et des anecdotes d'enfance plus légères. Une alternance que l'on connaît tous, et qui parlera à beaucoup !
Commenter  J’apprécie          30
Aubépine, tome 3 : Pourquoi tant de laine ?

Après le tome 1 et le tome 2, je me suis lancé dans la lecture du 3eme tome d'Aubépine. Cette fois-ci, l'hiver est arrivé et un nouvel ennemi pas si cruel a fait son apparition.



Les adversaires d'Aubépine dans ce tome sont des moutons dotés d'intelligence (enfin un seul apparemment), les autres ne sont pas très doués pour faire le mal. Ils sont tellement incompétents que vous ne pourrez pas vous empêcher de sourire devant leur maladresse ! Les enfants pourront même rire a la lecture de ce 3eme tome.



Encore une fois Thom pico nous impressionne par son talent d'écriture, et les dessins qui évoluent au fil des tomes sont vraiment très sympathique pour la lecture. J'ai même décidé de suivre Karensac sur les réseaux.



Bref, une histoire a mettre dans la bibliothèque ou la pile à lire de vos petits bouts.
Commenter  J’apprécie          20
La soutenable légèreté de l'être

Cette bande dessinée au titre faisant référence à l'oeuvre majeure de Kundera, a été une chouette découverte.

Les dessins ne m'ont pas transcendés mais l'histoire est touchante. Nous suivons une jeune femme à l'approche de ses trente ans. Le cap ultime, décisif, le moment du bilan sur sa vie, sa jeunesse.





Une oeuvre graphique qui décrit avec justesse l'angoisse d'exister, la vulnérabilité des femmes face à la vieillesse et aux dicktats sociaux, la solitude aussi.





Malgré tout, j'ai trouvé que l'oeuvre restait assez superficielle, j'aurais apprécié un plus grand approfondissement des personnages.





Une bande dessinée sympathique mais qui ne me marquera pas.
Commenter  J’apprécie          20
La soutenable légèreté de l'être

Eleonore, c'est Lolo. Presque trentenaire, hypocondriaque, addicte à beaucoup de choses, et passablement angoissée. Ajoutons à cela, une famille un peu névrosée, carrément contradictoire mais très aimante. On s'en doute, avec un profil comme ça, l'épanouissement n'est pas toujours au rendez-vous. Et pourtant, l'auteur fait preuve de beaucoup d'autodérision dans cette bande-dessinée autobiographique illustrée avec douceur et de façon expressive. Le personnage peut paraître difficile à vivre mais elle nous fait rire des situations dans lesquelles elle se retrouve.



Un bon moment de lecture.
Commenter  J’apprécie          20
Aubépine, tome 4 : La fin de tout

C'est le printemps ! L'année se termine pour Aubépine. La paix semble revenue dans la vallée de la montagne enchantée. Avec ses compagnons, elle célèbre le sacre du printemps. Mais sa mère, la dernière au courant des aventures de sa fille, fait un faux pas et détruit la Couronne des cimes. Le Génie Saligaud ressurgit de la montagne décapitée comme un oeuf à la coque. Plus puissant que jamais, avec sa soif de chaos universel, il menace de tout détruire. Pour reforger la couronne et sauver le monde, Aubépine devra traverser le labyrinthe des Chimères dans une autre dimension, assistée cette fois par Aestas, une démone dont elle se méfie.



On clôture l'histoire avec le printemps, toujours pleins de rebondissements dans cette bd avec humour.
Commenter  J’apprécie          20
La soutenable légèreté de l'être

« Lolo est hypocondriaque et angoissée.. Elle a peur d’à peu près tout : elle évite les transports en commun, l’ascenseur, les soirées, les concerts... À la veille de ses 30 ans, elle est hospitalisée pour une douleur au ventre dont on ignore la cause. Les médecins sont unanimes : c’est « dans sa tête ». En faisant le point sur sa vie, sa famille, ses addictions, Lolo va comprendre à quel point est soutenable cette légèreté de l’être.. »



Je ne sais pas trop par quoi commencer car ça n’à pas du matché avec moi pour le coup. Je m’attendais à quelque chose de totalement différent, qui ferait un peu plus échos à mes propres problèmes, et c’est sûrement mon horizon d’attente trop élevé qui a précipité ma chute vertigineuse. En outre, le style de la Bd m’a aussi bloqué avec des flashbacks trop dispersés et des répliques trop crues, trop insensibles.



Quand ça veut pas ça veut pas et cette fois : ça ne match pas ! J’ai bien aimé le dessin cependant, une petite note positive tout de même, qui rappelle sans aucun doute la rondeur et la douceur des BD Aubépine, des éditions Dupuis.
Commenter  J’apprécie          20
La soutenable légèreté de l'être

En parcourant ces jolies planches bleues et jaunes, j'ai été étonnée par le style de l'illustratrice. Les personnages enfantins racontent les névroses des adultes. Ils me font un peu penser à des personnages de jeux-vidéos, aux émotions exacerbées ! Sur l'ensemble de l'album, la mayonnaise ne prend pas (pour moi). J'ai trouvé qu'elle se dispersait, j'avais du mal à suivre le fil, la cohérence de ce roman graphique. Un peu déçue par cette lecture, donc, car elle me faisait de l'oeil depuis un moment.
Commenter  J’apprécie          20
Aubépine, tome 3 : Pourquoi tant de laine ?

La sortie d'un nouveau tome d'Aubépine est toujours un petit événement que je guette avidement... et je n'ai pas été déçue avec ce 3ème tome qui nous rappelle cet hiver que l'on n'a pas vraiment eu (merci, réchauffement climatique).⁣



Dans celui-ci, au revoir renard furax, bonjour moutons débiles ! Aubépine va devoir se retenir de se taper la tête contre le mur face à une tribu de moutons vraiment pas doués de leurs 4 sabots. Comme d'habitude, on rit aux gags de Thom Pico, on bave devant le trait et les mises en scène de Karensac, et c'est autant un bonheur de retrouver les personnages que l'on connaît que de découvrir de nouveaux habitants de la vallée (surtout quand ce sont des moutons bien teu-bêêêêê) (pardon)⁣



Que dire de plus à part que cette série se bonifie à chaque nouvelle histoire, qu'elle mérite d'atterrir entre les mains de tous les enfants de votre entourage (même les pas sages) et qu'il n'y a plus qu'à attendre avec impatience le 4ème et dernier tome, en croisant les doigts pour que ça ne soit pas un adieu à Aubépine et Pelade ?
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          20
Aubépine, tome 2 : Le renard furax

Après avoir dévoré le premier tome, il me tardait de pouvoir découvrir celui-ci ! Il faut dire que le duo Karensac et Pico nous avait offert du lourd avec Le génie saligaud et que j'attendais beaucoup de ce tome 2.

Il n'y a rien de pire qu'une saga qui retombe comme un soufflé dès le deuxième tome. Mais rassurez-vous, cela n'a pas du tout été le cas ici. Le soufflé est resté intact. Il me semble même qu'il a pris un peu d'ampleur.



Bref, laissons ici les métaphores cuisinières et entrons directement dans le vif du sujet.

Nous retrouvons donc Aubépine et son fidèle Pelade dans une nouvelle aventure pleine de rebondissements.

En effet, la passation de la couronne des Cimes n'a pas pus faire entre la vieille bergère, gardienne de l'été et le Renard, gardien de l'automne. Pourquoi et comment, cela je vous laisse le plaisir de le découvrir lors de votre lecture, sinon cela reviendrait à spoiler absolument toute l'histoire.



Sachez simplement qu'Aubépine et Pelade vont avoir du pain sur la planche pour ramener la tranquillité dans la vallée, car comme le titre du tome l'indique, le renard de l'automne n'est pas vraiment satisfait de la situation et va déployer ses Chevaliers Châtaigne pour l'aider dans sa mission.



Encore une fois, Karensac et Pico nous offre une histoire très bien menée, avec une intrigue assez particulière mais néanmoins intéressante.

Le tout, sublimé par les dessins de Karensac qui sont absolument sublimes et qui collent parfaitement avec l'ambiance de la BD.



Comme dans le premier tome, l'insouciance et l'humour seront également au rendez-vous pour mettre un peu de piment dans tout cela et former un ensemble très sympa à découvrir, quelque soit l'âge du lecteur et ses préférences en terme de lecture.



En conclusion, Le renard furax constitue pour moi un véritable coup de coeur. J'avais déjà hautement apprécié le premier tome, mais celui-ci est encore meilleur ! J'ai hâte de voir ce que les auteurices auront prévu pour la suite !
Lien : http://www.cranberriesaddict..
Commenter  J’apprécie          20




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Karensac (236)Voir plus

Quiz Voir plus

L'Allemagne à la portée de tous

J'ai un chien loup ou

berger teuton
berger germain
berger d'outre Rhin
berger allemand

10 questions
70 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}