Kotoyama

Autour de l’idée "Je traîne la nuit avec un vampire un peu glandeur", Call of the Night mêle plusieurs ambiances, de légères à introspectives, et nous entraîne dans un conte étrange et envoûtant. Un manga au charme singulier, à la croisée de plusieurs genres, qui mérite un coup d’œil pour les amateurs de couple atypique et d’expérience décalée.
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Les mangas, j'en ai lus beaucoup et mon adolescent est un grand fan lui aussi.

C'est donc tout naturellement que j'ai porté mon choix sur ce manga lors de la dernière Masse critique.



Vous aurez donc mon ressenti et celui de mon fils !



Pour mon fils c'est un 5/5. Il a adoré ce manga, l'histoire, les personnages, l'humour. Bref pour lui c'est un sans faute et il a commandé les deux tomes suivants dans la foulée.



Pour moi ce sera un 3/5 (d'où le 4 étoiles une moyenne de nous deux).

Pourquoi 3/5 ? Car clairement ce shonen s'adresse à un lectorat adolescent.

Tout y est pour leur plaire: le langage, les thématiques, les personnages.

Et je dois dire que pour eux c'est très bien amené.



Kô est un adolescent de 14 ans qui est un peu paumé en ce moment dans sa vie. Il n'arrive plus à dormir la nuit, est en décrochage scolaire, n'a pas vraiment d'ami et ses parents ont l'air aux abonnés absents.

Les adolescents se retrouve dans ce personnage car le mangaka aborde des sujets qui les touchent : l'amitié au collège, la solitude ressentie au sein de celui-ci ou à la maison, l'avenir et les études et... les prémices de l'amour. Kô se pose beaucoup de questions sur tout ça, comme beaucoup d'adolescents.



L'histoire est parsemée d'humour potache et de sous-entendus sexuels (surtout de la part de notre vampire féminine) sans que cela soit vulgaire ou malsain.



Tout cela en fait une bonne lecture pour les ado. Pour les adultes tels que moi cela reste moins intéressant, mais je pense que de toute manière c'est le jeune public qui est visé pour ce manga.



Donc au final, un bon manga pour les jeunes qui s'y retrouveront de part les personnages et les thématiques qui les touchent particulièrement.



Je remercie chaleureusement Babélio ainsi que l'éditeur Kurokawa pour l'envoi de ce premier tome lors de la Masse critique.
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Call of the Night, c'est donc ce petit vent de fraîcheur, une comédie romantique vampirique décapante, drôle et vivante, où la sensation de liberté permise par cette métropole du crépuscule nous emporte immédiatement. L'autrice a déjà toute notre confiance, et on a d'emblée hâte de retrouver le binôme pour leurs nouvelles péripéties.
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Un bon début pour ce manga. J'ai trouvé certaines scènes assez répétitives mais j'ai envie de voir où on peut aller cette histoire d'un jeune garçon qui veut vivre seulement la nuit et d'une vampire. J'ai bien aimé l'humour utilisé, j'espère juste que la suite de l'histoire saura se renouveler.

KO et un élève de 4e qui est déscolarisé car il ne se sent pas bien en cours. Il décide de sortir chaque soir dans la ville car il est insomniaque qu'il vaut mieux s'occuper.



Il va y rencontrer Nanakuna une femme qui va lui faire découvrir la nuit et l'amusement de celle-ci point elle emmènera chez lui et découvrira qu'elle est un vampire.



Elle le mordra et Ko sera surpris de ne pas être devenu un vampire. Elle lui expliquera que pour devenir un vampire il faut que le mode tant que lui est amoureux d'elle. Cela deviendra son objectif pour pouvoir devenir un vampire.



J'ai noté cette lecture 5 étoiles.

J'ai beaucoup aimé je me suis beaucoup amusé surtout avec les blagues coquines de Nanakusa.

Kô Yamori était un collégien plutôt brillant et apprécié de ses camarades jusqu’au jour où il en a eu assez de sa vie : presque tout d’un coup, il a eu l’impression que tout n’était qu’apparence et qu’il ne saisissait les choses qu’en surface et qu’il était toujours en décalage.

C’est à partir de là qu’il a cessé d’aller en cours. Mais depuis qu’il passe ses journées chez lui, le soir il ne parvient plus à trouver le sommeil...

Une nuit, il va décider d’aller se promener et c’est durant cette balade qu’il va faire la rencontre de Nazuna Nanakusa : une vampire au caractère bien trempé. Bien entendu elle va lui cacher sa condition d’être surnaturel jusqu’à ce qu’elle soit obligée de lui avouer (quand il va se rendre compte qu’elle l’a mordu!).

Au lieu d’être effrayé le garçon va y voir une opportunité : et si lui aussi devenait un vampire? Nazuna va alors lui expliquer qu’elle ne peut transformer que les personnes qui tombent amoureuses d’elle.

Habituellement, elle n’y voit pas grand intérêt mais cette fois ci c’est différent car le sang de Kô est absolument délicieux ! Ils vont donc conclure un accord : elle peut donc lui sucer le sang tous les soirs en attendant qu’il parvienne à tomber amoureux d’elle et quand ce sera le cas, elle le transformera.

On va donc suivre leurs escapades nocturnes pendant lesquelles ils vont faire connaissance et profiter de la nuit qui offre un tout autre visage du monde.

Cette histoire a été une agréable découverte qui était un petit peu passée sous mes radars : je ne m’attendait pas à ce que le titre soit à fois drôle et profond. On a un vrai côté humoristique principalement grâce à la forte personnalité de Nazuna qui est toujours prête à lancer un petit commentaire graveleux, mais derrière toutes ces allusions, on nous propose une réflexion sur le sens de la vie, le passage à l’âge adulte et les apparences.

Je me suis retrouvée sur certaines choses notamment tout ce qui concerne le sentiment de liberté qu’apporte la nuit. Perso je ne me suis jamais sentie aussi libre que lorsque je marche seule la nuit avec de la bonne musique dans les oreilles. J’ai effectivement l’impression que le monde n’est pas tout à fait le même et ce ressenti est très agréable. J’ai trouvé ça très chouette que l’auteur nous en parle et je maintenant curieuse de lire la suite!!

Si vous avez envie d’un titre plein d’humour avec des personnages plus complexes qu’il n’y paraît, jetez-y un p’tit coup d’œil
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Merci à Babelio et aux éditions Kurokawa pour cette découverte manga.



Cela faisait un moment que je n’avais pas lu de manga et celui ci me tentait bien.

Le résumé était attirant et les graphismes plutôt sympas.

Une histoire de vampire , jeune et jolie évidemment. Un garçon naïf, insomniaque et asocial. Une rencontre nocturne un peu simpliste, comme si c’était normal de croiser une vampire la nuit. Des sous-entendus sexuels appuyés et limites assez lourds.

Clairement, ce genre d’histoire trop légère et peu recherchée ce n’est pas pour moi. Ça plaira sûrement à un public bien plus jeune.

Seuls les graphismes m’ont bien plus au final.

Call of the night est un manga que j’ai longuement attendu !



Le résumé me donnait follement envie et le design des deux premières couvertures m’a conquise ! J’ai directement acheté les deux tomes à la sortie.



J’ai bien aimé ma lecture, le personnage féminin me plait grandement mais moins le héro qui a des traits plus grossier et qui est pour moi, un peu trop jeune.



Le début de cette série m’a tout de même conquise, il faut que je lise le tome suivant !

 J’ai reçu cet ouvrage dans le cadre d’une masse critique sur le site Babelio.



J’adore les mangas, mais celui-ci est un peu différent de ceux que je lis normalement. Effectivement dans celui-ci nous avons une vampire qui va rencontrer un collégien qui trouve que sa vie est morose le jour et qui va veiller et rencontrer Nazuna !



À partir de là, la vie va être bouleversée pour ces deux personnes, mais pas que.



Je ne suis pas une grande fan des livres avec les vampires, mais là franchement les dessins donnent du sens au texte c’est un cumul des deux qui est extraordinaires, vraiment je vous conseille d’ouvrir cet ouvrage et de voir de vous-mêmes. La qualité des dessins est exceptionnelle.



De ce fait, personnellement, j’ai apprécié cet ouvrage plus pour l’illustration que sur le fond, mais c’est quand même un très bon point.

Alors... On a eu Dragon Ball... Puis Naruto & One Piece. On a eu L'Attaque des Titans, le fantastique The Promised Neverland... Voilà la relève! "Call of the night", une œuvre décrite comme spéciale aux yeux de son auteur. J'ai adoré cette lecture, et ça, même si l'anime m'avait tout spolié! C'est l'histoire d'amour mal assumée de Nazuna (une vampire immortelle aux cheveux roses) et de "Kô", un lycéen de 14 ans, doué sous tous les aspects, et qui veut devenir un suceur de sang! Vers le 2/3 apparait un deuxième personnage humain très sympa, Akira, qui rendra Nazuna jalouse. C'est drôle parce que Nazuna n'a aucune limite niveau sexe mais c'est la cata niveau sentiments, et pour Kô, c'est exactement l'inverse! Voilà la recette de ce duo spécial, drôle et complémentaire! Call of the night, c'est aussi la nuit personnifiée, terrain chéri de liberté. Meilleure lecture du mois de Juillet!
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Habituellement, comme en témoigne certains shojo fantastiques, c'est souvent le personnage féminin, l'être humain, qui se retrouve séduite par le personnage du beau gosse de vampire totalement obsédé par la qualité du sang de la jeune femme.



Ici, avec Call of the Night, c'est l'inverse qui se produit avec un collégien sans histoire mais un peu dark quand même, Kô Yamori qui, lors d'une sortie nocturne à cause d'une bonne insomnie ait la rencontre d'une vampire Nazuna Nanakusa qui l'invite à s'assoupir chez lui. Cette dernière découvre alors la qualité exceptionnelle du sang du collégien. A partir de là, c'est le début d'une suite de rendez-vous nocturnes puisque le collégien, Kô Yamori est bien décidé à devenir lui-même un vampire mais pour cela , il faut qu'il tombe amoureux de Nanasuka ,la belle et délurée vampire guidée par la qualité exceptionnelle du sang de Yamori.



Entre eux, va se dessiner une véritable relation de complicité que la mangaka Kotoyama prend soin d'exposer dans un premier tome un peu lent mais assez attrayant dans l'ensemble.



Tout d'abord, les personnages principaux de ce titre sont bien réussis. La mangaka ne s'amuse pas à créer du drama inutile autour de ces protagonistes. Elle dépeint plutôt leur rencontre et leur complicité à travers un ton naturel et amical renforcé par des échanges drôles et légèrement coquins. L'humain et la vampire sont vraiment présentés ici comme des amis allant boire une bière et un café qui se cherchent et se tourne autour avant l'acte vampirique. Les deux personnages possédent aussi un caractère très compatible entre le sombre Kô Yamori, qui est un personnage plutôt pudique et discret et la vampire Nanasuka , plus délurée et extraverti avec un petit air féroce ( ce qui ne l'empêche pas de rougir quand on lui parle d'amour !) . Bref, une relation qui fait aussitôt mouche dans Call of the night , entre espiéglerie et provocation et qui tranche avec la relation grandiloquente entre une humaine éperdue et un noble vampire qu'on a pu déjà voir dans le manga. La dessinatrice place les deux personnages sur un même niveau ce qui donne lieu à de bons passages de complicité comme le vol nocturne ( très jolie planche ) ou les discussions par le biais d'un talkie-walkie. On notera aussi le style espiègle et léger de la mangaka qui ne calque pas son dessin sur un enième shojo fantastastique tout en traits majestueux. Les personnages sont ici très expressifs et l'ambiance nocturne est bien relevée par l'humour et une pointe de sensualité sans que ce cela soit trop poussif.



La nuit est bien sûr un élement important dans Call of the Night dont l'intrigue va , a priori, se concentrer durant ses rendez-vous nocturnes. La mangaka prend donc un certain soin à cultiver cet univers à coups de trames forcément assombres et un environnement urbain bien présent pour cette ville anonyme. La mangaka donne envie de découvrir plus avant cette ville dans la nuit et on se demande quelles surprises elle va nous réserver. L'intervention d'une troisième protagoniste en fin de volume laisse supposer que le manga ne va pas non plus se concentrer uniquement sur ce futur duo amoureux.



On peut reprocher à ce premier tome d'être un peu répétifif , notamment à travers des discussions abscons sur la définition du vampire mais cela ne gâche en rien le potentiel de Call of the night qui parvient à nous embarquer tranquillement dans cette ballade nocturne, une ballade nocturne qui a fait ses preuves puisque la série compte 14 volumes au Japon.



Ce premier tome de Call of the Night annonce une sympathique et douce suite de ballades nocturnes autour d'une romance ambigue et drôle entre un collégien insomniaque et un poil déprimé et une vampire délurée et franche. Kotoyama s'accapare la figure du vampire avec aisance et une certaine originalité dans la complicité humain et vampire, le tout sous la belle lune de minuit !

Très déçue par ce second tome que j'ai trouvé très très lourd. Des blagues vues et revues, on a compris que la nuit passionne notre protagoniste, il ne fait que de le répéter à tout bout de champ. Le mangaka introduit une courte histoire qui permet de donner un petit souffle de nouveauté à l'intrigue principale mais j'ai trouvé que l'histoire était assez terne…et on revient très vite à l'éternelle ritournelle de "il faut que je tombe amoureux pour devenir un vampire" à "arrête de parler de sentiments ça me gêne"....

Que j'étais pressé de lire le Tome 2!! Je l'ai même acheté directement à la Librairie du coin!!;). Même si évidement j'ai déjà vu le début de l'anime... Vous parlerais je du personnage de Nazuna? Elle dévoile son ventre et ses jambes dans ses tenues à faire pâlir d'envie Kate Beckinsale !! Mais tout son dos est masqué par une grande cape genre... Batman.

Touchant! Cet être immortel, c'est en fait avec Kô, aujourd'hui, qu'elle échange son premier baiser! Kô! Tu ne vas pas pouvoir lui faire la leçon!

Ce tome2 Marque l'arrivée d'un nouveau perso, "Kiyosumi", qui nous rappelle à quel point être un vampire est synonyme de liberté et d'indépendance.
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Le premier tome de Call of the Night nous exposait le début de la relation malicieuse et troublante entre Kô, un collégien de 14 ans qui souffre d'insomnie et sèche les cours et Nazuna, une vampire extravertie qui a trouvé en la personne de Kô, un véritable met de luxe. Depuis, les deux amis se retrouvent chaque nuit pour une nouvelle aventure qui s'achève à chaque fois sur Nazuna en train de sucer le sang de Kô, un moment sensuel et apaisant avant le début du prochain appel de la nuit.



Ce second opus développe un peu plus ce qu'est cet appel de la nuit, ou comment des personnes insatisfaites de leurs journées, aigris par leur quotidien, trouvent refuges dans la liberté que leur procure la nuit, un tout autre monde. C'est le cas notamment pour Mlle Kiyosumi, une secrétaire de 24 ans qui ne supporte plus ces lourds collègues de travail au risque de sombre dans la déprime. Sa rencontre avec le duo Kô/ Nazuma parviendra t-elle à la libérer et à la faire rejoindre cet appel enivrant de la nuit ?



Ainsi donc, ce second tome pose les bases d'une série qui se veut beaucoup plus fine et psychologique dans le traitement de ces personnages. Alors que nous aurions pu nous attendre à un simple jeu du chat et de la souris ( ce qui est aussi le cas dans les premiers chapitres de ce volume) , la mangaka Kotoyama tisse aussi une véritable trame de fond dans laquelle vient déambuler différents personnages tous attirés par l'appel de la nuit. Les aventures nocturnes de Ko et Nazuna vont se peupler de différentes rencontres que nous avons hâte de découvrir.



D'une certaine manière, le premier tome annonçait déjà cet aspect du manga avec le personnage de Kô qui s'est totalement descolarisé. Son manque de volonté laisse transparaitre une véritable déprime et ce thème semble cher aux yeux de la mangaka qui n'hésite pas, derrière l'humour espiègle et un peu pimenté à jouer avec les émotions de différents personnages. Ce manga laisse filtrer des sentiments à fleur de peau comme le personnage de la collégienne et amie d'enfance de Kô, Akira qui tente de convaincre ce dernier de retourner aux cours. Fort heureusement, la mangaka ne laisse pas l'intrigue tourner autour du bête triangle amoureux mais fait apparaitre Akira comme une personne supportant le choix de Kô tout en lui donnant une certaine valeur. C'est un personnage attachant et très jolie que nous avons hâte de retrouver dans les prochains tomes pour voir son évolution traitée avec subtilité.



Une subtilité d'intrigue que nous retrouvons dans la relation entre le collégien insomniaque et la vampire , toujours à travers des passages de bonnes complicités et des moments plus tendus comme lorsque les deux tourtereaux à en devenir vont s'inviter dans une soirée piscine nocturne. Si Kô veut devenir un vampire, il doit tomber sincérement amoureux de Nazuna mais les choses ne sont pas aussi simples et les moments de tensions amoureuses tel que la case du baiser à la fin du tome 1 ne sont pas encore des élements déclencheurs à cet état d'amour. Un état qui est souvent désarçonné par les répliques piquantes de Nazuna dont la rudesse et le franc-parler apporte énormément d'humour au titre. Une mention spéciale à Nazuna qui est peut-être l'une des meilleures vampires de manga que j'ai pu lire jusqu'à maintenant. Son côté provoquant qui se moque gentiment de la détresse de Kô apporte un bon contrepoids comique à cette romance fantastique. Un personnage mémorable tout simplement !



De ce fait, dans ce tome, la mangaka jongle avec adresse entre un humour piquant servis par des répliques un peu crues et de la finesse dans le traitement de certains personnages comme la secrétaire qui d'une situation absurde (la scène de massage) se retrouve à être libérée par l'appel de la nuit. Si on veut chipoter, on s'étonnera un peu du manque de réaction fréquent des personnages secondaires face à la découverte de la véritable nature de Nazuna mais encore une fois Call of the night n'est pas un simple manga fantastique. Nazuna peut apparaître comme une héroine qui vient d'une certaine manière sauver aux côtés de Kô les âmes en peine grâce à la liberté de la nuit.



Une nuit qui est toujours aussi si bien traitée dans le dessin Kotoyama qui nous fait visiter différents lieux plus ou moins recommandables comme la chambre d'un love hotel ou une piscine nocturne de riches avec toujours quelques envolées défiant la gravité dans le ciel nocturne... Call of the night est un titre qui effleure le tendancieux mais avec une délicate frontière toujours pleine d'humour burlesque et salvateur.



Rien à redire sur ce second tome qui impose les géniales qualités de l'appel de la nuit et nous donne facilement rendez-vous pour de prochaines rencontres nocturnes !

Avec Call of the Night, l'artiste commence à évoquer un moyen de se défaire des impératifs que la société fait peser sur nos épaules, ce via un nouveau personnage bien pensé.
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Kotoyama – Call of the night (3) – Tome 3 sur 6 – Kurokawa – 2022

Bien le Bonjour, bienvenue dans le mois de septembre mes p’tits Phoenix au Chocolat ;- )…

Déjà, la couverture est grave stylée !!



Call of night ça a été mon gros coup de cœur de cet été, alors pour bien démarrer septembre, je vous chronique la Suite.

J’ai lu ce Manga en Anglais pour Une Fois.



Yamori a promis à une fille de la changer en vampire pour qu’elle échappe à sa condition de Larbin bouc émissaire…

Je dois dire que ça apporte un vrai plus par rapport à l’anime !! ;- ) …



Quand Yamori se fait racoler par une vampire autre que Nazuna…

"Hey, I'm bored, man. And I play with guys because I'm bored. Pretend Love, Y'know."

(Hey. Je m'ennuie, man. Et je joue avec les garçons parce que je m'ennuie... Faire semblant d'être amoureuse, Tu vois...)



Alors que sa séductrice est sur le point de le croquer, Nazuna arrive juste à temps et lui coupe le bras (ça repousse !!).



« Human Boy » est enlevés à Nazuna (supérieur en nombres) et présenté devant une assemblée de femmes Vampires. Il n’est pas censé vivre en connaissant l’existence des vampires sans être un servant… Tel le pacha dans son Harem, chacune d’elle veut en faire son accessoire de mode x -)… Son « Vampire »

Kô continue de crier sa fidélité à Nazuna… Jusqu’à ce qu’elle débarque pour le sauver une nouvelle fois (Enfin … « Sauver » c’est relatif il est quand même entouré de 4 top modèles qui veulent toutes le b*…)

(Mais bon c’est encore un enfant…)



Apparemment Nazuna n’est pas très populaire au sein de son propre clan.

Un très très bon manga !! Tout est parfait : les personnages, les dessins ,l’intrigue, l’enjeu, le scénario, l’originalité.
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De nouveaux venus viennent perturber les nuits solitaires de Kô et Nazuna, nous amenant à explorer des lieux et des situations plus étranges, mais aussi plus dangereuses. Le récit prend de l'ampleur et se montre toujours aussi efficace dans sa façon d'aborder les doutes et les errances de ses personnages.
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Entamée comme une tranquille ballade nocturne, le manga de vampire Call of Night de Kotoyama continue d'enrichir ses envolées nocturnes avec l'apparition de plusieurs nouveaux personnages.



Dans le second tome, nous découvrions d'autres humains nocturnes à l'instar de Kô. Cette fois, ce troisième opus nous présente toute une bande de charmantes vampires. La série est toujours aussi passionnante avec des personnages (humains et vampires confondus ) haut en couleurs. Kotoyama dépeint toujours avec humour les rapports romance/amitié tout en complicité entre les humains et vampires. Le thème de la séduction et de la nécessité de la part d'un ou plutôt d'une vampire de chosir un acolyte est ici au coeur de ce troisième opus avec de nouvelles vampires qui expliquent à Kô la nécessité de se multiplier en choisissant des acolytes prêt à devenir vampires.



Nous allons passer sur la redite de l'explication du comment devient-on vampire chez Call of the Night , une redite qui est un petit point faible de la part de ce manga. Ainsi, malgré des personnages toujours aussi sympathiques et pas mal de péripéties, Kotoyama tourne légèrement en rond quand aux relations humains/vampires en chargeant son récit d'explications déjà racontées dans les tomes précédents. Heureusement, les nouveaux personnages continuent d'apporter pas mal d'intéret au titre à commencer par le personnage de Seri Kikyo, une vampire au look lycéen qui apparait comme la première antagoniste du titre.



Son opposition face à Nazuna autour du rapport que cette dernière entretient avec Kô permet à Kotoyama de nous offrir un peu d'action et de combat dans ce troisième tome. Rien de bien percutant ( ne vous attendez pas à de la baston vampirique à souhait ! ) mais suffisamment palpitant pour dévoiler une autre facette du dessin de Kotoyama qui bascule un peu plus dans l'échange de coups entre deux saillies verbales.



Seri incarne donc au début de ce troisième tome une certaine adversaire mais rien n'est jamais trop simple dans Call of the Night , un manga qui prend le temps de développer et de faire évoluer ses personnages au coeur de la nuit. Ainsi, même si Seri apparait d'abord comme une vampire impitoyable , le mangaka la dévoile aussi et surtout comme une vampire vulnérable qui s'ennuie tout simplement de sa condition tout en évitant de s'attacher à ses proies.



Derrière le sourire pointue du vampire, se cachent aussi des êtres sensibles au rapport humain. Manga de vampire mais aussi et surtout manga tranche-de-vie , Kotoyama dépeint quelques bons passages tel que le karaoké qui dévoile un bon moment d'amitié.



Amitié mais aussi et encore et toujours de la romance traité avec pas mal d'humour. Tel un héros de harem-manga, le côte vulgaire en moins, Kô se retrouve au début de ce volume entourée de plusieurs et jolies vampires qui vont tenter de le séduire chacune à leur tour mais non pas à coups de charme visuel mais plutôt par le biais de répliques et de différentes approches qui apportent pas mal d'humour à cette séquence. Kotoyama est une mangaka dôté d'une approche subtile qui joue beaucoup la carte du décalage humouristique illustré par Nazuna.



Ainsi, même si nous découvrons d'autres vampires femmes dans ce tome, c'est aussi Nazuna qui est mise en valeur par son décalage. Loin d'être un modèle archytépale de séduction, elle est moquée et un peu mise à l'écart par ses collègues aux dents pointues qui voient en elle une véritable Tue-L'amour. Cette opposition rend le personnage de Nazuna et son rapport avec le candide Kôi assez unique.



Bien que nous découvrons de nouvelles vampires, le manga n'oublie pas aussi de nous parler de Kô et de ses amis humains. Nous découvrons un nouveau visage , Mahiru Seki, un personnage plutôt lumineux en totale opposition avec le caractère réservé de Kô et qui formait avec ce dernier et la belle Akira un trio d'amis d'enfance. Même si Mahiru Seki apparait un peu soudainement dans l'intrigue, nul doute qu'il aura une véritable importance dans Call of the night et notamment par le biais de son actuelle et mystérieuse petite amie...



Cependant, il commence à manquer à Call of the night une touche de challenge et de défi. Même si pour la première fois, Kotoyama fait apparaitre un peu d'adversité, personnellement, j'aimerais voir apparaitre un petit antagoniste (humain ou vampire) dans ce titre de romance et de complicité, un portrait qui apporterait un peu plus de piment.



Pour l'instant, Call of the night enchaine surtout des moments de complicités et de réflexions amusantes autour des relations entre les personnages mais ce serait dommage que la série se limite uniquement à cela, la mangaka prouvant avec ce semblant d'adversité présent dans ce troisième tome, qu'elle peut aussi présenter plus de challenge et de férocité à ce nouveau titre vampirique.

Plus que de confirmer la routine de la série, ce troisième tome vient la chambouler, et amener une direction tout à fait plaisante, qui tend à confirmer que Call of the Night n'est pas une comédie romantique comme les autres. Drôle, parfois inquiétante, mais aussi juste émotionnellement, la série ne manque décidément pas d'atouts.
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Nazuna et Kô continuent leurs pérégrinations nocturnes. Nos deux tourtereaux à en devenir sont cette fois-ci recrutés par Midori Kohakobe, l'une des vampires rencontrées dans le tome précédent, dans un Maid Café.



Au programme, soubrettes et mignonnitudes pour un épisode un peu moins prenant tout de même qui voit Kô devenir le détective d'une nuit suite à une mystérieuse affaire de voyeurisme.



En parlant de détective, notre infatiguable Kô va également faire une rencontre décisive en la personne d'une vraie détective privée qui semble avoir le nez pour guetter les vampires.



A partir de là, le manga prend une tournure plus sérieuse et n'hésite pas à instaurer plus de drama au cours d'une ballade nocturne dans le lycée à la recherche de légendes urbaines. Nouveau cap pour Call of the night qui distille plus de sérieux sur la condition du vampire ou plus précisément être vampire...



La géniale Kotoyama prend vraiment le temps de distiller son intrigue. Jusqu'à maintenant, Call of the night enrichit son univers nocturne, nous présente bon nombres de personnages mais n'affiche pas clairement une ligne précise dans son histoire qui se concentre essentiellement sur les ballades nocturnes de Kô et Nazuna. Pour autant, l'intrigue progresse doucement en alternant différents points de vue , notamment autour des camarades de Kô, Akira et Mahiru qui possèdent eux aussi leurs propres trajectoires. Call of the night est une série qui met toujours aussi bien en valeurs les personnages avec une mention spéciale pour Akira dont on découvre le point de vue au début de la série. Une bonne pirouette narrative qui montre que Kotoyama ne s'impose pas de limites dans le déroulement de l'histoire.



Après, avec ce tome 4, nous restons aussi sur quelques petites faiblesses, notamment au niveau de l'intérêt de certains arcs ou ballades nocturnes qui sont un peu faibles. Ce passage au Maid Café est un épisode très gentillet qui se mue en petite enquête et filature sans vraiment de relief si ce n'est de nous faire découvrir le quotidien de Midori Kohakobe. On devine juste ici le plaisir de la mangaka de dessiner des soubrettes ( attention, sans fan-service non plus, rappelons-le !) mais même si cette nuit au Maid Café demeure moins interessante que d'autres ballades nocturnes, elle contribue à varie l'univers de Call of the Night.



Personnellement, j'ai davantage apprécié l'univers solitaire du lycée où le trio d'ami d'enfance se retrouver à arpenter les murs de leur établissement scolaire en quête de légendes urbaines. Un épisode un peu plus effrayant qui apporte davantage de consistance à cette série qui commence à dévoiler ses canines depuis le tome 3.