Citations de Laurence de La Baume (16)
- Oubliez les soûlards autour des grandes villes ! Apprenez à nous connaître, vous ne le regretterez pas ! Les Occidentaux n'ont rien compris aux Aborigènes. Ils ont essayé, mais nos lois n'entrent pas dans votre compréhension du monde ni de la réalité !
La vie devenait un jeu de piste. Chaque instant contenait une promesse. Je rêvais qu'un jour tout le monde s'abreuverait à cette dimension ! Tout le monde saurait qu'elle n'était pas seulement réservée à une élite de pratiquants spirituels ! On pouvait vivre désormais sans cette horrible sensation d'étouffer dans ses propres limites, celles que nous imposait ce mental qui bâtissait des murs, nous enfermant dans notre conditionnement de bocal.
Je songeais alors à nos états de conscience si différents dans ce monde, comme des strates superposées, enchevêtrées dans notre pâte humaine, ce gigantesque mille-feuille dont les amplitudes et les divergences conduisaient aux guerres.
Que faire de tout cela ?
La course au temps qu'on nous apprend dès l'enfance et qui nous structure, nous prive en même temps du présent. De la conscience de vivre...
C’est par le cœur que nous allons pouvoir comprendre et nous diriger dans la complexité croissante actuelle
Au loin, la Terre, avec un point infime qui semble correspondre au lieu où je vis, puisque mon corps flotte dans ces parages, du moins ce qui lui ressemble, une minuscule enveloppe physique qui s'éloigne progressivement.Je regarde alors ce petit bout de chair qui ne m'appartient plus avec une joie incomparable. Il faut imaginer cette impression de liberté, de légèreté que confère l'absence de toute enveloppe charnelle, mélangée à la vitesse, à la douceur chaude et fluide de la lumière, à la sérénité d'un cercle sans fin.
Comment lui dire que la vérité ressemblait parfois si fort à la folie dans notre monde rationnel ? Qu'il était émouvant, vrai, plus authentique que nous ? Que c'était d'un courage fou ? Qu'il n'y avait rien d'autre à dire ?
Je détaillai son visage, qui donnait tout son sens au mot humanité.
Le sourire qui se dessina sur ses traits à cet instants-là fut une lumière sur mon chemin.
En raccrochant, j'avais nettement l'impression, contrairement aux idées reçues, que nos enfants nous élevaient et non le contraire.
Au loin, la Terre, avec un point infime qui semble correspondre au lieu où je vis, puisque mon corps flotte dans ces parages, du moins ce qui lui ressemble, une minuscule enveloppe physique qui s'éloigne progressivement.Je regarde alors ce petit bout de chair qui ne m'appartient plus avec une joie incomparable. Il faut imaginer cette impression de liberté, de légèreté que confère l'absence de toute enveloppe charnelle, mélangée à la vitesse, à la douceur chaude et fluide de la lumière, à la sérénité d'un cercle sans fin.
La mort n'est qu'un malentendu !
Si vous n'êtes pas conscients que nous sommes tous connectés, vous vous maltraitez les uns les autres. Vous maltraitez la nature et la planète sur laquelle nous vivons. Donc, il faut que nous changions de conscience pour changer le monde. Et changer de conscience signifie s'ouvrir à de nouvelles possibilités, se changer soi-même.
Comment lui dire que la vérité ressemblait parfois si fort à la folie dans notre monde rationnel ?
L'autre histoire. Fini le rêve. Le sorcier reprenait son combat contre le Père (ainsi nommé dans le texte), ce Père qui n'en était pas un, qui n'était en fait qu'un missionnaire blanc venu évangéliser sa tribu. On voyait comment cet évangéliste, en voulant les attirer vers la religion chrétienne, les privait de leur identité. Comment en les détournant de leurs origines, il les condamnait à mort.
Même le grand inventeur Thomas Edison surprit tout le monde en commentant le rôle de l'intuition dans sa vie. Il avait donné une interview dans une petite gazette où il déclara : " Les gens disent que j'ai créé des choses, mais je n'ai jamais rien crée. Je reçois des impressions qui proviennent de partout dans l'univers et je les travaille, mais je ne suis qu'un sillon sur un enregistrement ou un récepteur, ce que vous voulez... Les pensées ne sont que des impressions que l'on recueille de l'extérieur.