Teng

Cinq amis sexagénaires, unis comme les doigts de la main, mènent une vie terne. Jusqu’au jour où ils rencontrent pour de vrai Jo, une call girl, qu’ils observent sans relâche depuis le téléscope de Julien.



Ce one-shot est splendide. Le scénario impeccable, les dialogues tirés au cordeau, et que dire des dessins de Paul Teng sublimes.

Docteur Livingstone, je présume ?

Oui, mais encore… c'est un peu court jeune homme !

Sans aller jusqu'à le confondre avec Jonathan Livingston le goéland, j'ignore tout de cet explorateur écossais du 19ème siècle. Cette BD permet de combler agréablement les creux.



Le récit commence par une réunion au siège du journal New York Herald, en octobre 1869. Pour gonfler ses ventes, son directeur a l'idée d'envoyer un de ses journalistes à la recherche de Livingstone qui, parti dans une énième expédition, a disparu. Ce journaliste, ce sera Henry Morton Stanley, reporter de guerre plutôt baroudeur.

On suit donc l'expédition de Stanley qui aboutit à Oujiji, en Tanzanie, où Livingstone est coincé. Ce dernier, loin de vouloir rentrer tout de go au Royaume Uni, entraine Stanley dans une recherche des sources du Nil (c'est ce qui l'avait amené là au départ) car il ne croit pas à l'hypothèse de Speke – le collègue puis adversaire de Richard Burton – qui les place dans le lac Victoria. Durant le voyage, il lui raconte sa vie.



Le bonhomme est impressionnant, éloigné de Burton quant au caractère. Issu d'un milieu populaire, il est avant tout médecin et missionnaire. Il apprécie véritablement l'Afrique et ses habitants qu'il souhaite voir éduquer et amener à Dieu. La BD le montre diplomate, désamorçant les conflits potentiels avec les tribus rencontrées sur le trajet. Elle ne lui attribue aucune arrière-pensée de supériorité du « civilisé » sur le « sauvage » mais déclare qu'à son corps défendant cette attitude contribuera plus tard au colonialisme brutal tel que les Européens l'ont construit. Livingstone abhorre l'esclavage, largement pratiqué par les tribus entre elles et par les Arabes. Un jour, il voit un village se faire anéantir par des négriers arabes sans pouvoir rien faire. Il essaiera de convaincre les autorités du Royaume Uni de lutter contre ce fléau.

Livingstone est le premier européen à traverser l'Afrique d'Est en Ouest. Cela lui vaudra la gloire dans son pays et dans tout l'Occident.



Le dessin de Teng est agréable et réaliste. On retiendra surtout la magnifique page montrant la découverte par Livingstone des Chutes Victoria.



La collection Explora est décidément très instructive. Je la recommanderais bien à l'Éducation Nationale.

Quand on croise un monsieur dont on a entendu parler mais qu'en fait on ne connait pas du tout, c'est toujours une belle rencontre.

Merci BazaR d'avoir mis cette BD sur ma route, parce qu'elle m'a fait découvrir la vie de Livingstone.

C'est toujours fascinant de lire des bouquins sur ces hommes attirés par "l'ailleurs", par les mondes inexplorés, au point d'y perdre tout ou presque à un moment ou à un autre.



Les dessins sont plutôt sympas, et effectivement la vue des chutes Victoria est magnifique.

Evidemment le colonialisme autour de tout ça n'est pas la chose la plus attirante au monde, mais c'est notre Histoire et nous avons à l'assumer.

Déjà au moins Livingstone était plus humaniste que beaucoup de ses contemporains.



Je n'ai pas trop le temps de m'étendre, étant très occupée.

Si vous voulez plus détaillé, allez donc voir l'avis de l'ami BazaR !

Ils sont cinq hommes, unis comme les cinq doigts de la main, c'est ainsi qu'ils se définissent. Amis de longue date, inséparables et pourtant aucun ne se ressemble.

Julien Villars est nègre et poète à ses heures perdues, homme sensible et fumeur invétéré.

Marcello Garini, dit Marcel, est cuisinier, Italien et tient un restaurant avec sa femme Adrienne qu'il n'aime plus, surtout depuis qu'elle a pris les rênes. Joueur compulsif et dragueur, il ne doute pas un seul instant de son sex-appeal.

Charles Férignac est banquier, gérant d'une agence du crédit Viticole. Célibataire endurci, il ne doute pas un seul instant de ses charmes.

René Jouvert est flic, 60 ans, l'âge de la retraite qu'il redoute. Inconsolable depuis la mort de sa femme, il ne parle plus à ses deux filles mariées à deux connards.

Louis Seigner est un «comédien« raté puisqu'il se cantonne à tourner des publicités pour le troisième âge. Bedonnant, il aurait besoin de faire un bon régime.

Sexagénaires, ils redoutent ce fameux cap du troisième âge et envisagent leur avenir non sans une certaine amertume.

Leur passion commune: se réunir chez Julien et regarder à travers le télescope la jolie voisine d'en face, Joséfine, qui aime se balader en tenue légère et qui ne tarde pas à remarquer leur petit jeu.

Quelques jours plus tard, c'est accompagné de Jo que Marcel se pointe à un cocktail. C'est alors qu'elle leur explique qu'elle se fait entretenir par «Doudou» et que c'est cela son métier, à savoir vivre aux crochets d'un homme riche. Invités tous les cinq chez elle, Doudou fait irruption, s'aperçoit de leur présence et décide de lui couper les vivres. Désemparée, Jo demande alors à nos chers amis de s'occuper d'elle à tour de rôle. Jusqu'où seront-ils prêts à aller pour elle?



Jean Van Hamme n'a vraiment plus rien à prouver quant à son talent. Il nous livre ici un véritable one-shot digne d'un scénario de film. Structuré intelligemment, avec des arrêts sur images, des descriptions pertinentes des différents amis, cet album se savoure délicatement et tendrement. Nos héros sont attachants et drôles. Avec des dialogues d'une grande qualité et d'une pertinence incroyable, on ne peut lâcher cet album sans un certain sourire aux lèvres car c'est avant tout l'histoire de belles amitiés.

Quant au graphisme, que dire du talent de Paul Teng! Des planches sublimes, des couleurs raffinées, fraiches et pétillantes, des dessins recherchés, brillants et parfaitement adaptés à cette comédie de mœurs... bref, un album haut en couleurs!

Un véritable plaisir!



Le télescope... on peut y voir des étoiles dans mes yeux...

Bien vu !

Cinq jeunes sexas, plus proches de la Bérézina que de la retraite dorée, en fin de course et au terme de leurs illusions, se connaissant depuis l’enfance et se disant unis comme les doigts de la main, le « club des cinq » se retrouve chez Julien, poète à ses heures et nègre dénigré, afin de se rincer l’œil en cœur à l’aide d’un télescope braqué sur la fenêtre d’en face. Plus performant que les lunettes qui font voir à travers les habits, l’engin fureteur expose aux amis mateurs un Peep show gratuit. Une jolie femme entretenue et en petite tenue reçoit. Le striptease est donné mais la pornographie hardcore est privée, rideaux tirés. Marcello, cuistot maqué en manque, l’un des cinq, va faire la connaissance de Jo, la femme en fesse d’en face. Il l’amène à un cocktail au grand dam des messieurs. Finalement, Jo va accepter d’être entretenue par la fratrie qui se dépense sans compter, au-delà du raisonnable. Un terme est mis aux rapports amicaux et sexuels mais Jo finit par éprouver de la tendresse pour ces hommes sincères dans leurs élans. Elle leur révèle, avant de les quitter, une arnaque immobilière en cours. Son ancien amant ne s’était pas caché de l’exposer devant elle, la croyant incapable de cogitation. Les cinq amis vont essayer de redresser la barre quelle que soit la tournure prise, contre vent mauvais et marée traîtresse.

Jean Van Hamme recycle tous ses écrits. Initialement prévu comme scénario de téléfilm, Le télescope a été édité en 1993 puis adapté en bédé quinze ans plus tard. On peut d’ailleurs retrouver dans l’album un découpage cinématographique avec arrêt sur image. Le procédé permet à l’auteur d’exposer le profil psychologique du personnage qui va entrer en scène. Comme à son habitude, le scénariste belge ne brille pas par l’étude psychologique des protagonistes et les grosses ficelles ont la peau dure. L’histoire est totalement invraisemblable. Il est difficile de concevoir que des hommes lambda puissent devenir de redoutables bretteurs, capables de parer et d’anticiper les coups de politiciens retors, largement aguerris et sans aucun scrupule. Le happy end des papys est tiré par la moumoute. Le dessin du néerlandais Paul Teng, réaliste et fouillé, bien charpenté, n’est pas pourtant totalement emballant. En dépit des critiques inévitables, le one shot de 86 pages se lit sans aucun déplaisir. Les rebondissements vaudevillesques ne se font pas uniquement sur des matelas Epeda multispires. L’arnaque financière et le jeu de dupe sont habilement menés. Van Hamme connaît bien ce domaine et y excelle. Le lecteur apprécie toujours que les méchants soient punis et fessés en public alors que les bons bénéficient d’une remise de peine même si la vraie vie ne joue jamais les partitions de cette manière.

Alors que Jhen était en visite à Carn, il se capturer par un duc anglais. Ce dernier compte quitter la Normandie après l'avoir pillée de ses trésors. Et il espère bien emmener la célèbre Telle de Conquest exposée à la cathédrale de Bayeux.



Histoire plutôt gentillette sur la tapisserie de Bayeux. En 1435, la Normandie est encore terre anglaise et la tapisserie relatant la bataille de Hasting est un bien déjà précieuse.

Jhen a un rôle plutôt passif. S'il désapprouve le vol des trésors normands mais il se balade dun point à un autre comme on lui demande de faire. Son interaction avec les autres personnages est assez limité. La jeune Adele est plus intéressante mais pourrait être mieux exploitée.

Comme notre célèbre tapisserie, tout est cousu de fil blanc. Nous ne sommes jamais surpris de l'évolution des événements.

Une histoire agréable mais bien classique...

Le dessin est à cet image : agréable, bien mieux que certains tomes de Jhen, tout en gardant une ligne claire très classique de rigueur quand on prend la suite de J. Martin

Voilà une bd signée par un auteur italien qui est des plus réussies dans le genre historique.

Nous sommes au début du XIIème siècle où un homme règne sans partage sur l'Angleterre et la Normandie.



Il s'agit de Henri 1er cadet de Guillaume le Conquérant. Son unique fils vient de mourir au cours d'un naufrage au large des côtes bretonnes ce qui va poser le douloureux problème de la succession du royaume.



Fort heureusement, il trouve une parade face à ces barons avides de pouvoir en désignant sa fille Maud, veuve de l'empereur germanique. Dès lors, les attentats vont se multiplier pour la tuer.



C'est là qu'intervient notre héros, Shane, un beau blond aux yeux bleus, mercenaire irlandais de son état. Cerise sur le gâteau, il brûle d'amour pour la jolie princesse. Bref, rien de très nouveau.



Cette série d'aventure qui mélange action et romanesque ravira également les fans d'Histoire.

Juillet 1435



Jhen est à Caen en Normandie lorsqu'il assiste impuissant à la mise à sac de l'Abbaye des Hommes, fondée sur ordre de Guillaume le Conquérant, et qui abrite sa dépouille et une partie de son trésor.



Les anglais ne sont pas privés, une fois de plus, et après avoir tué quelques moines, et mis la campagne à feu et à sang, s'en retournent à Bayeux, leur camp de base, dirigé par le régent d'Angleterre en personne, le Duc de Bedford.



Jhen est leur prisonnier, mais le Duc s'en excuse et lui rend sa liberté en échange de quelques jours passés en sa compagnie en dédommagement.



Le Duc entend bien récupérer tous les trésors de Guillaume le Conquérant, dont il est l'héritier avant de s'en retourner en Angleterre.



Mais la colère gronde dans la foule. Les impôts,les pillages, les tueries... la présence de ces anglais est une vraie malédiction pour toute la région.



Plus loin, en France, Charles le septième n'est pas en reste et voir le Duc s'en retourner en Angleterre en devient quasi une obsession.



Pour les habitants de Bayeux, toute leur attention est désormais tournée sur la telle du Conquest, la fameuse tapisserie qui conte la conquête de l'Angleterre par Guillaume, également convoité et qui sera une pièce de choix à ramener outre Manche.



Tout est en place... c"est une véritable poudrière en puissance, et Jhen est aux premières loges, bien malgré lui...

Une très chouette BD que j'ai empruntée à la médiathèque et qui m'a fait passer un bon moment de lecture. A faire écho aux "Vieux fourneaux" pour les papis qui ne manquent pas d'idées pour pimenter leur quotidien.

Le télescope qui donne son titre au livre est situé dans l'appartement de Julien, écrivain-poète obligé de faire le nègre pour vivre et qui rêve sur les formes de la belle voisine d'en face, call-girl de son état.

Mais Julien n'est pas seul, ils sont 5 amis depuis l'école communale, unis comme les doigts de la main aiment-ils à dire. Un banquier, un cuisinier, un policier, un comédien raté... Le jour où ils rencontrent en vrai la belle Josefine, ils font aussi la connaissance bien malgré eux de son riche souteneur qu'ils vont être incités à escroquer pour payer leurs dettes.

L'histoire est bien mieux ficelée que mon résumé et j'ai trouvé les relations entre cette belle femme et ces 5 sexagénaires très tendrement imaginées.

C'est le genre d'histoire que j'aime bien et que seul Van Hamme sait bien faire dans le genre complot politico-immobilier. Cela faisait longtemps qu'il n'avait plus fait de one shot. On retrouve toujours ce même plaisir de lecture. Il arrive à nous faire vivre cette bande de cinq sexagénaires autour d'une créature de rêve. De toute façon, il a un sens inné de la narration et de la mise en scène. C'est un véritable maître en la matière.



Derrière chaque situation un peu comique se cachent de sérieuses critiques d'un certain mode de fonctionnement de notre société. J'aime la manière dont l'auteur le fait savoir. C'est parfaitement maîtrisé de bout en bout d'autant que le dessin est agréable. Que dire de plus ? A découvrir pour passer un bon moment de détente sans mourir idiot !

A nouveau, la bande dessinée livre un récit où s’associent, avec équilibre et pertinence, un contexte historique maîtrisé (...) et des valeurs intemporelles.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..

Une BD Pop-corn, du genre blockbuster qui divertit et sur lequel il ne faut pas trop se pencher, par peur de tomber dans les trous du scénario.



Je connais assez peu Van Hamme, même si j'ai lu (sans l'apprécier) les premiers albums de Largo Winch, et je suis assez bon public de ce qu'il a fait ici. C'est un scénario qui part un peu dans le n'importe quoi rapidement, avec ces cinq petits vieux qui ont eut la sensation de rater leurs vies et qui s'amourachent d'une jeune femme qui se vend à des riches. Ca commence gentiment, ça part ensuite sur des intrigues politiques et combines d'entreprises, une direction que Van Hamme semble apprécier. C'est bien mené, faut pas trop être regardant sur les questions de la crédibilité mais si vous acceptez les modalités de l'histoire, ça passe tout seul !



On sent clairement les inspirations de films que Van Hamme utilise, notamment le moment de pause dans le récit pour présenter un personnage (qui rappelle le gimmick dans Arnaque, crime et botanique de Guy Ritchie) ou la construction du récit lors de la préparation du plan. C'est plutôt bien mené, et j'ai apprécié le déroulé jusqu'à un final satisfaisant. La BD n'est pas riche en messages, quelques critiques pointent de ci, de là, on a une vision de la vieillesse qui peut sembler inciter à vivre malgré l'âge, les personnages sont des archétypes pas complètement cliché ...

Je pense que la BD est bien, pas fabuleuse, pas mauvaise, mais bien comme un bon film divertissant : c'est attendu, pas révolutionnaire, on en ressort ni changé ni blasé, c'est juste une histoire sympa et des personnages qu'on apprécie de suivre. N'en attendez pas grand chose et vous serez comblé !

Belle redécouverte que voilà.

Un dessin plus "dur" au trait plus encré nous donnant un personnage plus nerveux et vieillissant. Une certaine petite distance au style de Jacques martin.

Mais aussi un bon scénario nous emportant facilement vers la page suivante. Pas de temps mort et notre personnage sera activement confronté à cet univers tragique.

Ça faisait longtemps que je n'avais pas lu une aussi bonne histoire de notre héros.

Du bonheur.

Avec cette nouvelle équipe artistique, la saga de Jhen se poursuit avec entrain et nous promet que du bon ! Un album à lire sans plus tarder !
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Bon album scénarisé par Valérie Mangin qui apporte son petit grain de folie dans une histoire classique, mais elle a déjà réalisé des prouesses en reprenant Alix.

Cela reste relativement classique avec un Jhen assez passif, qui se fait enlever, et qui au final subit les événements plutot que de les provoquer. D'où une fin trés sombre finalement. Donc Jhen rencontre le duc de Befdord qui cherche à récupérer le plus d'oeuvres d'art parce que "lui seul les apprécie et qu'il pourra les protéger". Sa dernière envie : la tapisserie de Bayeux.

Jhen va tout faire pour préserver ce joyau protégée par une jeune fille en but contre le pragmatisme de son père.

Dessin assez atypique, parfois peu précis mais globalement intéressant.

Intéressant.

J'ai trouvé et emprunté le cinquième tome pour connaître le dénouement (voir mon billet sur les quatre premiers volumes sur mon blog). La fin que l'on devine est expliquée ici, mais rien de plus. Le héros, qui au départ rédigeait un livre, l'a terminé.



Une explication sur la signification de l'ordre impair (facile à deviner) et maintenant, voici venir le temps de l'ordre pair.




Lien : http://loiseaulyre.canalblog..

Un très bon Jhen, qui devrait plaire autant aux fans de l’œuvre de Jacques Martin qu’à ceux, nombreux, qui aiment qu’une bd traditionnelle se modernise avec intelligence.
Lien : https://www.actuabd.com/Jhen..

Le dessin de Paul Teng (Jhen, Shane) donne force et incarnation à cette aventure humaine. Accessible, descriptif et de facture classique, il offre une entrée dans cet itinéraire chaotique aux lecteurs de tous âges. L’objectif grand public et vulgarisation empêche de se perdre dans les grands espaces, de rendre la richesse des paysages et la variété des couleurs. L’efficacité du récit ne laisse pas de place à la réflexion, à la méditation ou à la contemplation. En attendant de lire une éventuelle version plus ambitieuse de ce sujet riche et passionnant, chacun passera un agréable et instructif moment de lecture.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..

Rodolphe propose un très beau récit, passionnant qui nous invite à vivre l'aventure aux côtés de Stanley et Livingstone. C'est tellement bien écrit que nous avons l'impression de vraiment vivre cette expédition en Afrique. Rodolphe décrit parfaitement ce personnage emblématique, cet homme entêté, qui veut aller au bout de ses idées.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..