Citation de andreepierrette
Page 27 : On était alors un tas, sept ou huit. Il y avait Salima, que sa mère avait réussi à sauver quand les voisins l'ont dénoncée comme pute sur le trottoir et qu'elle a eu une descente de l'Assistante sociale pour indignité.
Il y avait aussi de passage Antoine qui était un vrai français et le seul d'origine et on le regardait tous attentivement pour voir comment c'est fait.
page 30 Le docteur Katz était bien connu de tous les Juifs et Arabes autour de la rue Bisson pour sa charité chrétienne et il soignait tout le monde du matin au soir et même plus tard.
page 74 : Madame Rosa avait des ennuis de coeur et c'est moi qui faisait le marché à cause de l'escalier. Les étages étaient pour elle ce qu'il y avait de pire. Elle sifflait de plus en plus en respirant et j'avais de l'asthme pour elle, moi aussi, et le Docteur Katz disairt qu'il n'y a rien de plus contagieux que la psychologie. C'est un truc qu'on connait pas encore.
Madame Lola nous aidait de son mieux. Elle revenait du bois de Boulogne complêtement crevée après les efforts qu'elle avait fait dans sa spécialité et dormait parfois jusqu'à 5 heures de l'après-midi . Le soir elle montait chez nous pour donner un coup de main. On avait encore de temps en, temps des pensionnaires mais pas assez pour vivre et Madame Lola disait que le métier de pute se perdait à cause de la concurrence gratuite. page 148.
Il y avait aussi de passage Antoine qui était un vrai français et le seul d'origine et on le regardait tous attentivement pour voir comment c'est fait.
page 30 Le docteur Katz était bien connu de tous les Juifs et Arabes autour de la rue Bisson pour sa charité chrétienne et il soignait tout le monde du matin au soir et même plus tard.
page 74 : Madame Rosa avait des ennuis de coeur et c'est moi qui faisait le marché à cause de l'escalier. Les étages étaient pour elle ce qu'il y avait de pire. Elle sifflait de plus en plus en respirant et j'avais de l'asthme pour elle, moi aussi, et le Docteur Katz disairt qu'il n'y a rien de plus contagieux que la psychologie. C'est un truc qu'on connait pas encore.
Madame Lola nous aidait de son mieux. Elle revenait du bois de Boulogne complêtement crevée après les efforts qu'elle avait fait dans sa spécialité et dormait parfois jusqu'à 5 heures de l'après-midi . Le soir elle montait chez nous pour donner un coup de main. On avait encore de temps en, temps des pensionnaires mais pas assez pour vivre et Madame Lola disait que le métier de pute se perdait à cause de la concurrence gratuite. page 148.
