A.J. Quinnell

L'homme de feu est un roman que j'avais emprunté, collégienne, à ma voisine. De prime abord, je pensais que ça parlait d'un pompier (ça aurait pu, vu le titre). Mais pas du tout.



On s'embarque dans une histoire à la fois touchante, sombre et tragique. Un ancien type de la CIA est recruté, bien que passablement porté sur la bouteille et pas forcément au mieux dans sa tête, pour servir de garde du corps à une petite fille. Au début ça semble mal parti entre la gamine et l'ours qui la surveille. Pourtant, il finit par s'apprivoiser et à s'attacher à sa protégée. Quand elle est kidnappée et qu'il découvre dans quelles conditions, mieux vaut ne pas se trouver sur son chemin. Le brave nounours redevient une bête féroce prêt à tout pour retrouver la petite.



Je ne sais pas si une relecture rendrait justice à ce roman qui m'avait alors exaltée. Le tempo allait crescendo et les liens qui s'étaient tissés entre les deux personnages m'avaient beaucoup émue. On y sentait comme une forme de rédemption pour l'homme baigné tant d'années dans la violence. A posteriori, ça peut paraître basique. Pourtant je me souviens les avoir suivis pas à pas et avoir ressenti la même colère vengeresse après l'enlèvement.



Encore un très bon et fort souvenir de lecture remonté le long des années.

jonh creasy ancien para , devenu mercenaire traverse une crise morale profonde . il revient en Italie,a Naples, chercher un peu de chaleur humaine.aupres d, un ancien compagnon d, armes,Guido, son seul véritable ami.par son intermédiaire, sans y

tenir vraiment car il ne manque pas d, argent.

il va être engagé comme garde du corps, auprès de Pinta une enfant de onze ans, fille d,un industriel milanais souvent absent.la jeune fille, est gentille, bien qu,un peu agaçante avec toutes ses attentions, son immense besoin d, affection.va

peut à peut réussir à Percé la carapace d, indifférence de creasy l,ours.c, est le début de sa

régénération.çreasy le dur vacille.

mais quand le kidnapping a lieu,se sera le drame. grièvement

blessé,creasy survivra.mais, animé animé d,un objectif unique.la vengeance.et pour l, ancien baroudeur, devenu homme de feu, la vengeance sera brûlante.

le livre sera adapté deux fois au cinéma 🎬.. la première fois en 2008 avec John Glenn dans le rôle de creasy, et un remake avec Denzel Washington dans le rôle.

perso j,ai préfère la première version plus fidèle au livre.

une bonne histoire palpitante.pour passé un bon moment de détente.👍

L'un de mes premiers coups de cœur de livre d'action.

J'avais adoré à l'époque, je ne saurais dire aujourd'hui si mon sentiment serait le même, en tous cas j'en garde un très bon souvenir de lecteur.

Depuis, ce livre à fait l'objet de 2 versions cinéma (Chouraqui en 1987 et Tony Scott en 2004) 2 films d'action , dont le premier me paraît plus proche du livre.

Un transfuge polonais est recruté par un trio d'ecclésiastiques vaticanais pour aller tuer Andropov à Moscou, afin de l'empêcher de reproduire l'attentat raté de Jean-Paul 2.

En compagnie d'une religieuse, le voilà parti dans une aventure rocambolesque, voyageant dans des conditions parfois comiques comme un camion-citerne de lait, ou par avion enfermés dens des cercueils.

Nous voici plongés dans un univers d'espionnage, où le héros part faire un stage d'entraînement au terrorisme en Lybie, puis part faire sa mission jalonnées d'étapes prévues par les prêtres de Rome.

Bien que cette histoire semble irréaliste, on peut néanmoins se demander s'il n'y a pas une part de vérité quant aux méthodes utilisées par les divers services secrets, le KGB, et les polices polonaises et soviétiques. Nous sommes plongés dans une ambiance pré - pérestroïka, des révoltes en pays soviétisés, où on sent se craqueler le système communiste.

L'histoire se termine avec la mort d'Andropov, à la date réelle de sa mort, et commme tout est mensonge dans le système soviétique, il se pourrait bien que cela se soit effectivement produit ainsi.

Tour est dans l'art du romancier, d'écrire une histoire crédible même si à la fin, l'un des conspirateurs dit qu'il ne s'est rien passé, et que les protagonistes de l'attentat n'ont jamais existé.

Un bon moment de lecture, je me suis laissée prendre.

Ayant adoré le film « Man on fire » avec Denzel Washington, quand j’ai appris que c’était tiré d’un livre, j’ai évidemment eu envie de le lire… Je m’attendais à ce que ce soit diffèrent, et j’ai eu raison : le livre est très diffèrent. Déjà il ne se passe pas à la même époque ni au même endroit (le faits se déroulent en Italie). Je m’attendais à ce qu’il ne soit pas trop mal, j’ai eu tort : il est excellent !

A savoir que la version du livre est inspiré d’un fait réel...



On suit donc Creasy, homme qui approche la cinquantaine, qui a un passé de soldat puis de légionnaire derrière lui. Hanté par son passé, il boit plus que de raison et songe sérieusement à mettre fin à sa vie ; car à quoi bon continuer à vivre si c’est juste pour souffrir ?



La relation entre lui et la petite Pinta est très touchante.

Creasy est un homme de peu de paroles, qui n’exprime jamais rien, qui ne croit plus en rien, qui se montre très froid avec tout le monde.

Pinta est une jeune fille de 11 ans, curieuse, pleine de vie, empathique et intelligente. L’absence de son père fait qu’elle retrouve en Creasy une forme de figure parentale dans l’amitié qui les lie.

On voit donc Creasy changer peu à peu, reprendre vie, jusqu’au drame… La psychologie des personnages, surtout celle de Creasy est très bien construite et son évolution et passionnante à suivre.



La vengeance est calculée, mise doucement en place, apportant un suspens, mais aussi une ambiance particulière. Voir cet homme déterminé dans sa vengeance, mais prenant bien le temps de tout préparer. Assister à ses pensées, ses conversations, sa transformation, est un plaisir que j’ai dégusté.



Enfin, le 3ème acte : la vengeance. Courte mais efficace. Le soldat à la retraite devient l’homme de feu qui brûle tout sur son passage, méthodiquement, froidement, sans une once de remords…



Je ne peux que conseiller ce livre à ceux qui ont apprécié le film, mais aussi à toute personne qui aime les livres d’action, de vengeance ou de drame… Quelque passage m’ont révolté, quelques passages m’ont fait pleurer… Et c’est ce que j’ai aimé dans ce livre : il retranscrit parfaitement les émotions de ce soldat désabusé. Sa tristesse, sa colère, son amour et sa haine… Et sa détermination sans faille pour punir les ordures qui ont causé tant de souffrances…

Je n'ai pas vu le film de 1987 d'Elie Chouraqui (que j'aimerais beaucoup voir d'ailleurs) mais j'aime beaucoup le "Man on fire" de Tony Scott avec Denzel Washington datant de 2004. J'ai prévu de le revoir bientôt mais avant cela, je voulais découvrir le livre d'origine de A.J. Quinnell (pseudonyme du romancier anglais Philip Nicholson) qui a atterri depuis peu dans ma bibliothèque personnelle.



Curieux, je ne m'attendais pas à grand chose puisque je connaissais les grosses lignes de ce récit mais je dois bien avouer que je me suis pris une bonne claque avec "L'homme de feu". C'est bien simple, j'ai adoré ce roman.



Riche en action, j'ai beaucoup aimé la façon psychologique de nous présenter les personnages. On découvre leurs passés juste quand il faut, chaque scène à son importance et même le côté "militaire" qui aurait pu me rebuter m'as passionné.



J'ai quasiment lu ce livre d'une traite tant j'ai été pris dans l'intrigue de la première à la dernière page, ne posant mon roman que par nécessité. Pourtant, je veux bien reconnaître qu'il y a des facilités et le style de l'auteur n'a rien d'exceptionnel mais il a su m'embarquer avec lui.



J'ai eu l'impression de redécouvrir cette histoire. Les grandes lignes sont celles que je connaissais mais c'est entre ses lignes que j'ai découvert une autre vision ce qui prouve bien que la vision différente d'un auteur à l'autre peut donner un autre visage à une oeuvre.



Cette histoire européenne sous fond de mafia sonne un peu comme du déjà vu mais elle est réussie. Son rythme est très plaisant et on ne se sent jamais perdu dans les détails que l'on peut nous donner même les plus technique.



"L'homme de feu" est une très belle surprise pour moi. Il me tarde encore plus maintenant de revoir le film de Tony Scott tout en espérant pouvoir découvrir celui d'Elie Chouraqui un jour. En attendant, c'est un roman que je vais garder chez moi avec plaisir et que je relirais volontiers

excellent livre d'aventures, difficile à lacher