Nous sommes pourtant très nombreux à saisir, ou au moins à ressentir d'instinct, depuis le premier confinement, que la principale cause des dangers qui nous guettent se trouve précisément dans notre obsession du matériel et du bien-être physique au détriment de l'esprit. Au fond, une puissance qui fait projet, exclusivement, d'une préoccupation aussi vaine, fragile et instable que l'avoir ne peut (pouvait) réussir que momentanément.