Il n’éprouverait aucun remords envers ses parents ; ils l’avaient abandonné autrefois pour payer leur propre liberté, maintenant c’était à lui de les abandonner. L’aide que leur avait apportée sa captivité aurait une fin puisqu’il partirait vivre sa vie. Et lorsqu’il parcourrait librement le pays, il pourrait même leur rendre visite, et les remercier de l’avoir mis à rude école pour le préparer à la vie.