Elle note les mots dissociation, conduites à risques, conduites d'évitement, attaques de panique, violences que l'on s'inflige à son corps défendant, cauchemars répétitifs, sensations de pénétration, elle note, À tous ces symptômes, les victimes ne comprennent rien. Plus on a été agressé jeune, plus on a de mal à voir le rapport entre la crise de panique au présent et l'agression du passé.
Elle note avec avidité mais elle non plus, elle ne voit pas le rapport.