2016, 2017, 2018, 2019, l'année 2020 ne nous rendra pas la liberté d'Ahmed Altan, notre ami écrivain avec ce tyran d'Erdogan. L'auteur de " Je ne reverrai plus le monde", écrit dans sa geôle, purge une peine indéfinie pour avoir froissé d'un mot, d'une phrase, d'un commentaire, un jour l'humeur du monstre d'Istambul.
PG