L'armée et la police qui avaient tenté de dissimuler le massacre de Kameido voulurent cacher un autre crime barbare, l'assassinat d'Osugi Sakae, de sa compagne Ito Noe, et de son neveu Tachibana Munekazu, par le capitaine Amakazu Masahiko, commandant de la gendarmerie militaire de Shibuya et de Kojimachi, et plusieurs de ses subordonnés.
Il fut commis le 16 septembre, et le ministère de l'Armée s'evertua à le tenir secret.