Il n’était pas rare non plus qu’un père viole sa fille, se disant que si, de toute façon, cette enfant qu’il avait élevée avec les soins les plus tendres, devait voir son corps à peine nubile violenté par un homme, autant qu’il soit le premier, et il abusait d’elle, sans cesser pour autant de coucher avec la mère, qui d’ailleurs ni voyait aucune objection si cela pouvait permettre à sa fille de tomber enceinte, elle lui donnait même volontiers un coup de main pour maintenir une fille récalcitrante. Les aînées couchaient avec leurs cadets, les frères ainés violaient leurs petites sœurs…