Il faut bien l’avouer, pour un Grand Maître, les fins de mandat sont difficiles. Surtout au Grand Orient qui impose une rupture brutale entre la fonction et le retour à la base. Partout ailleurs, on garde les anciens dans une sorte de réserve naturelle qui permet de les utiliser au mieux des intérêts de l’obédience (à la Grande Loge de France ou à la Grande Loge nationale française), en ne risquant pas de les voir s’ébrouer sans contrôle.