Empruntant l’étroite ruelle parallèle aux murailles longeant le fleuve, il traversa bientôt la place du palais de l’Ombrière…Même à marée haute,excepté lors des crues et des plus forts coefficients, il restait à cet endroit un chemin à peu près praticable le long de l’enceinte protégeant la ville d’éventuelles attaques par le fleuve.