En tant qu'écrivain, il prenait garde aux histoires des autres : elles pouvaient sans coup férir, devenir des romans. Il dirigea donc sa réflexion sur l'expérience de communication moderne qu'il venait de vivre et en tira une première conclusion. L'informatisation à outrance des services avait abouti à des conséquences inattendues : impostures, quiproquos, faux, manipulation... Une commedia dell'arte numérique qui commençait à peine.