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Citation de rkhettaoui


En dépit de l’amitié qu’il portait aux Anglais et de la reconnaissance qu’il leur vouait, il était bien forcé de reconnaître que leur langue était au français ce que la viande bouillie est au steak grillé. L’italien était une langue de valets, pleine de forfanterie et de roublardise. L’américain manquait de tenue, c’était du chewing-gum. L’espagnol jouait du bas-ventre et des castagnettes. Le russe martelait les mots comme des bottes frappent le macadam. Quant à l’allemand…
Depuis la guerre, M. Fourmont considérait les Allemands comme des ennemis personnels. Tout ce qui était allemand était boche et moche.
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