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Citation de La-page-qui-marque


Anton pleurait la mort imaginaire de Jag, mais ne parvenait pas à pleurer la mort réelle des siens. Les larmes ne venait pas. Il restait simplement là, debout et silencieux, les poins serrés, à regarder les corps vides, vidés de leur âme et de leurs rêves, ce qui pour un Tzigane était exactement la même chose.
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