Wanda regarde le jour se lever derrière la fenêtre du train. Elle caresse la tête de son petit Boris qui se retourne dans son sommeil. On a le sommeil lourd à cet âge-là. Son Boris ne connaîtra jamais les plaisirs de la Datcha de Yalta, il ne connaîtra jamais cette douceur de vivre. Il ne connaîtra jamais Babuschka. Wanda passait à Yalta les plus beaux printemps.