« Mais qu’y puis-je si j’aime aussi mes Valeureux qui ne sont ni adultes, ni dignes, ni sérieux, ni de peu de paroles ? J’écrirai donc encore sur eux, et ce livre sera mon adieu à une espèce qui s’éteint et dont j’ai voulu laisser une trace après moi, mon adieu au ghetto où je suis né, ghetto charmant de ma mère, hommage à ma mère morte. » (p. 91)