Le dénuement de cette chambre avait pour Gohar la beauté de l'insaisissable, il y respirait un air de liberté et d'optimisme. La plupart des meubles et des objets usuels outrageaient sa vue, car ils ne pouvaient offrir aucun aliment à son besoin de fantaisie humaine. Seuls les êtres dans leurs folies innombrables, avaient le don de le divertir.