Toutes les victimes évoquent avec ambivalence le besoin de recevoir le soutien des autres et la surprise de constater combien les réactions sont inadéquates et accroissent le sentiment d'être incompris, seul dans sa douleur. C'est avec cet a priori que notre patient.e arrive en consultation, inquiet.ète à l'idée d'évoquer ce qui le.a fait souffrir et qui pourrait induire les réactions ci-dessus, et en même temps désireux.se que le partage lui permette enfin d'aller mieux. En face le.a thérapeute a la conviction que cela fera du bien au / à la patient.e de parler..., puis expérimentera que cela ne suffit pas.