L’air changeait, et changeaient les aurores, et les ciels, et la forme des maisons, les oiseaux, les bruits, et les visages des gens, sur la rive, et les paroles de gens, sur leurs lèvres. L’eau glissant vers l’eau, délicate caresse d’amour, les anses du fleuve comme une berceuse de l’âme. (p.68)