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Françoise Brun (Traducteur)
EAN : 9782070419586
282 pages
Gallimard (01/08/2002)
4.08/5   986 notes
Résumé :
Il y a bien longtemps de cela, au milieu d'un océan, une frégate de la marine française fit naufrage. Cent quarante-sept hommes tentèrent d'en réchapper en prenant place sur un radeau. Une horreur qui se prolongea des jours et des jours, durant lesquels se donnèrent à Voir la férocité extrême et la pitié la plus douce.

Il y a bien longtemps de cela, sur le bord de l'océan, arriva un homme. Ce qui l'avait amené là était une promesse. La pension dans la... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (106) Voir plus Ajouter une critique
4,08

sur 986 notes
Océan mer. Merveilleux vent qui s'en vient du large. le temps d'un long silence mélodieux. le temps d'une marée montante qui déjà disparaît au loin. le temps d'une rencontre…

Sept naufragés de la vie, venus faire escale à la pension Almayer, posée sur la corniche ultime du monde. Sur le bord exact de la mer. Ce n'est ni la terre, ni la mer, c'est un endroit qui n'existe pas, qui n'existe déjà plus. C'est un monde d'anges.

Océan mer, c'est le ventre de la mer, celui qui vous avale, vous digère, vous lave de vos péchés, de vos peines, de vos douleurs et vous recrache sur le rivage comme un vulgaire morceau de bois s'échoue sur le sable. Naufragé mais vivant.

A la pension Almayer, le temps se fige. Nus pieds sur le sable, les sens en alerte, le regard tourné vers Elle, ces naufragés reçoivent ses chants iodés qui les bercent et les enveloppent de ses embruns.

Et commence le conte…

Comment dessiner la mer quand on ne sait où elle commence ? Comment l'enfermer dans un livre quand on ne sait où elle finit ? Comment vivre loin de ses chimères ? Comment l'oublier ? Comment l'aimer ? Comment vivre en elle ?

Il existe mille raisons de venir s'échouer à la pension Almayer. Connaissez-vous la vôtre ?

***

Océan mer. le titre lui-même est déjà un voyage !

Faites vos valises et embarquez pour cette petite pension posée quelque part, sur le rebord du monde. Les petits anges vous y attendent. Faites-y la connaissance de la sensible Elisewin, de la douce Ann, du contemplatif Monsieur Plasson, du cartésien Professeur Bartleboom, du poétique Père Pluche, de l'attentiste Adams… Je n'en ai cité que six, n'est-ce pas ?

L'écriture d'Alessandro Baricco est belle, chantante et imprévisible, comme la mer sur laquelle il nous emmène… Teintée d'onirisme, sa plume est tantôt légère, tantôt grave. Ce livre est à la fois un conte, un roman d'aventure, un poème, une peinture expressionniste, une question…

Faites vos valises, vous dis-je !
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C'est un endroit limite qui n'existe pas "entre la mer et la terre", une frontière mouvante qui s'efface et qui revient; le bord de mer.

Un endroit où se sont les enfants qui apportent les réponses aux adultes, où les destins déchirés se rencontrent et s'assemblent comme des puzzles pour se reconstruire. Il y a ceux qui cherchent, ils cherchent tous à comprendre et la mer finit par leur parler. Tous ces naufragés ont trouvé refuge sur ce frêle esquif l'espace d'un moment, puis ces destins se dispersent et trouvent leur chemin. Les hommes sont comme la mer, bordés d'indéfinissables frontières, ils sont tout autant infinis.

J'ai dévoré ce livre emprunt de magie, drôle souvent, dramatique et poétique tout le temps. Sa structuration est surprenante mais n'entrave pas la lecture. Elle permet, de plus, de conserver un suspens jusque dans les dernières pages. La narration est délicieuse et délicate, elle nous place en suspens au-dessus de ce petit monde, les mots nous bercent, nous secouent, c'est envoutant. Un livre pétri de la cruauté des hommes, de la beauté de l'infini, de poésie et de douleur. On en frissonne à sa pensée. Une très belle découverte, un auteur à lire encore et encore.
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" Sable à perte de vue, entre les dernières collines et la mer ".
Océan mer, mer océan, dans la pension Almayer de drôle de pensionnaire se côtoient, des hommes des femmes des enfants, un artiste, un savant, une maitresse sans amant, un prêtre précepteur .....
Pas facile d'écrire sur ce roman d'Alessandro Baricco, " Océan mer" est une plongée dans un univers poétique un peu comme Richard Brautigan, on se laisse emporter, balloter à travers des phrases et des situations.
Les personnages comme le peintre Plasson qui peint sans couleurs, juste de l'eau de mer sur la toile, ou encore le professeur Bartleboom qui écrit une encyclopédie sur les "limites" ou la belle Ann Devéria venu à la pension soigner son étrange maladie l'adultère.
Pendant ce temps, un radeau se désagrège emportant ses passagers dans un enfer sans nom.
Un magnifique récit que je vous recommande, un voyage dans l'univers d'Alessandro Baricco, c'est une invitation à la rêverie et pourquoi pas à l'écriture.
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Il y a le ciel, le soleil et la mer...
Suite et fin de mon triptyque personnel de l'été : après le ciel de Chine de Garrido, et le soleil d'Ispahan de Rufin, j'ai la joie de finir sur une vraie pépite : l'Océan Mer de Baricco.

Comme beaucoup ici sur Babelio, j'ai lu Ocean Mer après Soie, guidé par des critiques. Or beaucoup de lecteurs enthousiastes de Soie s'avèrent déçus par Océan Mer. Barrico y a pourtant franchi un cran de plus, touchant pour moi au chef-d'oeuvre, à tel point que j'ai hésité à mettre 5 étoiles et m'inquiète de parvenir à trouver mieux en poursuivant la lecture de cet auteur...

Comme certains de mes amis babeliesques, je dois bien l'avouer, pendant des dizaines de pages, je n'ai rien compris... le texte est à ce point décousu que j'ai cru qu'il s'agissait de poèmes, de tranches de vie sans rapport entre elles, avant de comprendre enfin où voulait nous mener l'auteur...

Il faut vraiment mettre en garde le prochain lecteur : connaissez vous les baïnes de la côte basque ? eh bien c'est ce qu'est ce roman. Etrange, poétique, philosophique, il se construit en deux lieux, la mystérieuse pension Almeyer, et un radeau de naufragés clairement inspiré du Radeau de la Méduse. Ce livre est une vague-dépression dont on ne sort pas indemne ; On en sort rincé, déboussolé, roulé, ayant perdu tout repère. Alors, si la vague qui vous pousse vers le large n'est pour vous que source d'angoisse, si vous pensez que toutes les plages devraient chaque jour être aplanies à coups de bulldozer pour éviter tout accident, ne lisez pas ce livre. Mais si vous avez l'esprit baroque, et le cran de vous abandonner à une vague incertaine, pour mieux lutter, à la recherche du sens profond de la vie caché dans les abysses, alors lisez le...

Baricco, qui démontrait déjà dans Soie -chronologie de ma lecture, et non de l'écriture de l'auteur... malheureusement...- un syle bien particulier, déconcertant, décousu, tout en conservant une lègère trame... de soie... nous invite cette fois à une perte totale de repère. En cela son roman porte encore une fois bien son nom. C'est un hymne à la Mer, et même plutôt à l'Océan. Les vies des personnages humains se croisent au creux d'une vague, se mêlent un instant, avant de se noyer, vaines, dans la tourmente liquide. Alessandro Baricco chante l' Océan Mer. La cruelle vérité de la vie et de la mort se révèlent sur le Radeau de a Méduse, et la vanité des préoccupations des hommes fait de même à la Pension Almeyer, tenue par les anges de la mer. Grain de sable, la de vie de personnages à peine esquissée, songe fugitif, s'agrège dans un château de sable dont se jouent les vague, avant de tout engloutir. le peintre Plasson, le plus inexistant des personnages, est sans doute, paradoxalement, parmi les fantômes de la pension Baricco, le plus révélateur, grâce à son oeuvre : il peint la mer, en cherchant toute sa vie le tableau parfait. Il mourra heureux quelques années plus tard, ayant atteint sa chimère, laissant à la postérité une collection presque entièrement constitué... de toiles blanches...certain d'avoir enfin su capter et restranscrire la musique de L'océan.

C'est magistral, c'est troublant, difficile à lire si l'on essaie de nager avec palmes et bouée ... il faut lâcher prise et se laisser porter... un net cran au-dessus de Soie, et un étrange moment de lecture que je conserverai en mémoire... flottant quelque part entre le Typhon de Conrad, les Pecheurs d'Islande de Loti, le K de Buzzati, le Vol de Nuit de Saint Exupéry et le Pendule de Eco.
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Sept naufragés de la vie se retrouvent dans un endroit étrange, qui existe à peine, et où le temps semble arrêté.

La pension Almayer qui abrite ces personnages est posée « sur la corniche ultime du monde », toute proche de la fin de la mer. Elle semble être arrivée là, toute seule, ne pouvant continuer son chemin, attendant la fin.

Face à eux , l'Océan qui ne finit pas, on ne sait où il commence, on ne sait dire qui il est. Est-il un monstre engloutissant les navires ou est-il cette vague inoffensive qui finit sa course sur la plage ?
Et ces traces de pas sur la plage qui s'effacent, recouvertes par la marée, semblent dire qu'ils n'ont jamais existé. Ce n'est qu'une illusion. Un décor planté là, le temps d'un récit.

« C'est le bord de la mer, un endroit qui n'existe pas, ni la terre, ni la mer »

Un récit d'aventures, dont le personnage principal est l'Océan. Les sept personnages sont venus guérir leurs blessures par la mer, prendre congés d'eux-mêmes, arrêter le temps pour trouver le bonheur d'être soi.
Chaque personnage est attachant, atypique, sensible et parfois drôle. Ils se complètent comme les pièces d'un puzzle.

Roman d'aventures étonnant, on y retrouve à la fois du suspense, de la poésie, de l'humour, de la violence, de la douceur, de la philosophie. Au départ, c'est déroutant, après c'est un régal.
On est envoûté par l'écriture, comme les personnages le sont par l'Océan, la pension Almayer et les enfants magiques qui semblent des anges gardiens. La disposition du texte sur la page contribue aussi à cet enchantement. L'écriture est musicale, elle semble nous raconter une fable. La fable de la vie, avec le temps qui passe, nos vies qui s'effacent, nos bonheurs et nos blessures, nos interrogations.

La pension Almayer attend la fin du récit pour s'éclipser et l'Océan efface toutes les traces, nous laissant dans le silence et l'émerveillement, nous éveillant doucement de ce songe enchanté.





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Citations et extraits (189) Voir plus Ajouter une citation
Dussé-je encore vivre mille ans, qu’amour serait à jamais le nom du poids si léger de Thérèse entre mes bras, avant qu’elle ne glisse au milieu des vagues. Et destin serait le nom de cet océan mer, infini et superbe.
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Elle regardait agoniser la petite flamme de la lampe, observait de temps en temps, dans le miroir, son visage redessiné par les affres de ces petites lueurs désespérées. Elle s’aida de ces dernières bouffées de lumière pour s’approcher du lit, où, sous les couvertures, une petite fille dormait, ignorante de tous les ailleurs, et très jolie. Ann Devéria la regarda – mais d’un regard pour lequel le mot 𝘳𝘦𝘨𝘢𝘳𝘥𝘦𝘳 est déjà trop fort – regard merveilleux qui voit sans se poser de questions, qui voit, c’est tout – un peu comme deux choses qui se touchent – les yeux et l’image – un regard qui ne 𝘱𝘳𝘦𝘯𝘥 pas mais qui 𝘳𝘦ç𝘰𝘪𝘵, dans le silence le plus absolu de l’esprit, 𝘭𝘦 𝘴𝘦𝘶𝘭 regard qui vraiment pourrait nous sauver – vierge de toute demande, encore non entamé par le vice du 𝘴𝘢𝘷𝘰𝘪𝘳 – seule innocence qui pourrait prévenir la blessure des choses quand elles pénètrent dans le cercle de nos sensations – voir – sentir – car ce ne serait plus qu’un merveilleux face-à-face, un ê𝘵𝘳𝘦-𝘭à, nous et les choses, et dans les yeux 𝘳𝘦𝘤𝘦𝘷𝘰𝘪𝘳 le monde tout entier – recevoir – sans aucune demande, et même, sans étonnement – recevoir – rien d’autre – recevoir – dans les yeux – le monde. Ainsi seuls les yeux des madones savent voir, sous la voûte des églises, l’ange descendu d’un ciel d’or, à l’heure de l’Annonciation.
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Je t'ai aimé, André, et je n'imagine pas qu'il soit possible d'aimer plus. J'avais une vie, qui me rendait heureuse, et je l'ai laissée partir en miettes pour petre avec toi. Je ne t'ai pas aimé par ennui, ou par solitude, ou par caprice. Je t'ai aimé parce qu ele désir de toi était plus fort que n'importe quel bonheur. Et je savais bien que la vie n'est pas assez grande pour y faire entrrer tout ce que le désir peut imaginer. Mais je n'ai pas cherché à m'arrêter, ni à t'arrêter. Je savais qu'lle le ferait, elle. Et elle l'a fait. D'un seul coup, elle a explosé. Il y avait des débris partout, et tranchants comme des rasoirs.
Puis je suis arrivé ici. C'est difficle à expliquer. Mon mari pensait que c'était un endroit pour guérir. Mais guérir est un mot trop petit pour décrire ce qui se passe ici. Et trop simple. C'est un endroit, ici, où tu prends congé de toi-même. Ce que tu es se détache doucement de toi, peu à peu. Et à chaque pas, tu le laisses derrière toi, sur ce rivage qui ne connait pas le temps et ne vit qu'un seul jour, toujours le même. Le présent disparaît et tu deviens mémoire.
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On croyait qu'elle allait grandir et que ça lui passerait. Et en attendant, on déroulait des tapis dans tout le palais parce que ses propres pas, bien sûr, l'effrayaient, des tapis blancs, partout, une couleur qui ne fasse pas de mal, des pas sans bruit et des couleurs aveugles.
Dans le parc, les sentiers étaient circulaires, à la seule et audacieuse exception de deux ou trois allées qui serpentaient en dessinant des boucles douces et régulières - psaumes - et c'est plus raisonnable, il suffit en effet d'un peu de sensibilité pour comprendre que tout angle mort est un guet-apens possible, et deux routes qui se croisent une violence géométrique et parfaite, capable d'effrayer quiconque serait sérieusement doté d'une vraie sensibilité, et à plus forte raison elle, qui à proprement parler 𝘯𝘦 𝘱𝘰𝘴𝘴é𝘥𝘢𝘪𝘵 𝘱𝘢𝘴 un tempérament sensible mais é𝘵𝘢𝘪𝘵 𝘱𝘰𝘴𝘴é𝘥é𝘦, pour employer un terme exact, par une sensibilité d'âme incontrôlable, explosée à tout jamais en un quelconque moment de sa vie secrète - une vie de rien, elle était si jeune - puis remontée au cœur par des voies invisibles et dans les yeux et dans les mains et partout, comme une maladie, mais ça n'était pas une maladie, c'était quelque chose de moins, s'il y avait un nom pour ça il serait très léger, le temps de le dire et il a disparu.
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C'est la musique qui est difficile, voilà la vérité, c'est la musique qui est difficile à trouver, pour se dire ces choses, quand on est si proche l'un de l'autre, la musique et les gestes, pour dissoudre le chagrin, quand il n'y a vraiment plus rien à faire, la juste musique, pour que ce soit une danse, un peu, et non pas un arrachement, de partir, de se laisser glisser loin de l'autre, vers la vie et loin de la vie, étrange pendule de l'âme, salvateur et assassin, si on savait danser cette chose-là, elle ferait moins mal, et c'est pourquoi les amants, tous, cherchent cette musique, à ce moment-là, à l'intérieur des mots, sur la poussière des gestes ; et ils savent que, s'ils en avaient le courage, seul le silence pourrait être cette musique, musique exacte, un vaste silence amoureux, clairière de l'adieu, lac fatigué qui s'écoule enfin dans la paume d'une petite mélodie, connue depuis toujours, à chanter à mi-voix.
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Vidéo de Alessandro Baricco
Les voies de la narration. Apprendre l'art de raconter des histoires dans le monde contemporain
Avec David Foenkinos, romancier, dramaturge et scénariste, Fanny Sidney, réalisatrice, scénariste, comédienne et Pauline Baer, écrivaine et animatrice d'ateliers d'écriture
Au cours des deux dernières décennies, les histoires, les récits, les narratifs sont sortis du champ strictement littéraire et culturel pour investir d'autres espaces – politique, économique, informationnel. Portée par l'essor des industries créatives et par la multiplication des canaux et des formats, la « fabrique » à histoires s'est développée en réponse à des besoins variés : assouvir une quête de sens, se réapproprier une histoire familiale, fédérer autour d'un projet collectif, incarner une ambition entrepreneuriale, donner du souffle à un projet politique, redonner de la cohérence aux événements du monde, ou tout simplement répondre à notre envie d'être transporté et tenu en haleine… du récit intime qui bouscule au récit politique qui veut marquer son temps, de l'histoire qui captive au narratif d'entreprise qui conjugue stratégie et raison d'être, chacun cherche l'histoire qui fait vibrer, donne du sens, motive, divertit ou répond aux questions du siècle.
Si le besoin de récit est partout, il faut (ré)apprendre à raconter des histoires de manière adaptée aux usages contemporains, sans perdre de vue la vocation humaniste de toute narration et les ponts qu'elle peut jeter entre générations et entre communautés. Une nouvelle génération d'auteurs, ainsi que la demande des industries culturelles interrogent l'idée – très française, et à l'opposé de la mission de la Scuola Holden de Turin fondée à Turin par Alessandro Baricco en 1994 – que l'art du récit ne s'apprend pas, à moins de le faire comme un outil pour accéder à un métier et à un média. Et s'il fallait une « école Holden à la française » pour décloisonner les industries culturelles et les générations ?
Table ronde proposée par Claudia Ferrazzi, fondatrice de VIARTE.
À lire – David Foenkinos, Charlotte, Gallimard, 2014. Pauline Baer, La collection disparue, Folio Gallimard, 2020. Alessandro Baricco, The game, Folio Gallimard, 2019. Alessandro Baricco, Les barbares. Essai sur la mutation, Gallimard, 2014. Yves Lavandier, La dramaturgie : les mécanismes du récit, Les impressions nouvelles, 1994. Maureen Murdock, The heroine's journey, Shambhala Publications Inc, 1990.
+ Lire la suite
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