Dès lors, on ne lit plus vraiment pour apprendre ni même pour se distraire intelligemment: au fond on le fait pour permettre à cette prose de laver certaines fatigues personnelles, des échecs ou des défaites, et d'apaiser la brûlure, éliminant de la plaie toute impureté. C'est ainsi qu'on lit pour le seul plaisir de la lecture pour se sauver. (p.52)