Très chère Mary,
[...]
C'est bien beau d'être le premier amant d'une femme (ou le deuxième, ou le troisième), mais rien n'est plus magnifique que d'être le dernier.
Remercie donc Noland de ma part. Et maintenant que j'ai réalisé qu'il n'était qu'une étape pour toi avant moi, j'ai décidé de prendre mon mal en patience.
Je serai ton dernier amant, Mary, le véritable homme de ta vie.
- signé : Ton Jack qui t'attendra autant de temps qu'il faudra (si c'est moins longtemps que prévu, ça me va aussi).
(p. 101-102)