Comme je l'ai souvent précisé à des journalistes peinant à définir où et quand prenait fin cette précocité : on naît et on est ainsi ! On le reste jusqu'à son dernier souffle.
Pour autant, parler d'adulte précoce, comme de précocité intellectuelle à 30 ou 40 ans, voire de vieillard précoce n'est décemment pas imaginable.