Plus que jamais, elle se sentait écartelée entre sa nature et son éducation. Les O'Hara l'attiraient comme un aimant. Leur énergie, leur joie de vivre faisaient vibrer à l'unisson la partie la meilleure et la plus profonde de sa nature. Elle n'était pourtant pas libre de s'y abandonner. Tout ce qu'elle avait appris d'une mère infiniment respectée lui interdisait cette liberté proche de la licence.
Déchirée par ce dilemme, elle ne parvenait pas à comprendre la cause réelle de son malheur.