Je me rendais l'existence impossible à vouloir agir, devenir, penser. Plus j'abandonne sans résistance à "être" et plus je me nourris et me ressource sans effort. Mes peurs sont un carcan d'oppression, un joug de hantises. Que puis-je réellement craindre, la perte ?
Comment exprimer ce sentiment étrange et absurde que la source de la vie pure se trouve ici ?