J’ai vu entre les mains de M. de Montholon l’original du billet annonçant à Hudson Law la mort de Napoléon.
Il était en trois endroits corrigé de la main de Napoléon lui-même.
Ainsi Napoléon en mourant s’arrangeait une mort napoléonienne.
279 - [Alexandre Dumas, cité par Claude Schopp, dans le Testament perdu, p. 39]