La nature n’était rien autre chose dans son éternelle palpitation que cette chaîne générale des êtres, que la sève de l’arbre était le sang de l’homme, et que la moindre plante, à un degré inférieur, avait sa vie sensitive à des degrés de plus en plus supérieurs, comme le mollusque, comme l’insecte, comme le reptile, comme le poisson, comme le mammifère, comme l’homme enfin.