En effet, tout observateur sait qu’il n’y a que les gens d’un certain monde qui aient besoin de respirer l’air dans les conditions où la nature le fait, c’est-à-dire composé de soixante et dix parties d’oxygène, de vingt et une parties d’azote, et de deux parties d’eau – tandis que les gens du vulgaire, habitués à leurs habitations infectes, l’absorbent sans difficulté aucune, si chargé qu’il soit de carbone ou d’azote.