Nous traversâmes une petite cour ; nous entrâmes sous un corridor sombre ; nous descendîmes quelques marches.
Nous trouvâmes un second corridor dans lequel veillaient des geôliers qui, de minute en minute, allaient attacher leur visage à des ouvertures grillées.
Ces cellules étaient celles des condamnés à mort, dont on surveille ainsi les derniers moments, de peur que le suicide ne les enlève à l'échafaud.