En un mot, je m'ennuie à mourir dès que je n'ai plus ma peinture qui m'obsède et me tourmente bien. Je ne sais plus où je vais ; un jour je crois à des chefs-d'oeuvre, puis ce n'est plus rien : je lutte, je lutte sans avancer. Je crois que je cherche l'impossible
Claude Monet
Je suis aussi fou que vous, mais je n'ai pas la même folie. Voilà pourquoi nous nous entendrons jusqu'au bout.
Dernière lettre de Clemenceau à Monet