Je crois qu’il vaut mieux oublier le temps, et se dire que la comptabilisation des heures qui passent n’est que le fruit de l’imagination des hommes qui ont crée des repères, des jalons, pour rythmer leur existence ; qu’il est plus excitant de naviguer à vue, sans boussole, en n’ayant pour guide que son étoile - comme les Phéniciens, la Grande Ourse - et son envie de vivre...