SALIERI
Ces larmes, je les verse pour la première fois : c’est pénible et c’est agréable, comme si j’avais accompli un pénible devoir, comme si un couteau salutaire m’eût coupé un membre souffrant ! Ami Mozart, ces larmes… ne les remarque pas. Continue, hâte-toi de remplir mon âme de tes sons.