Mais revenons à l’Opus 77. Le Nocturne est le seul des quatre mouvements à user d’instruments fantasmagoriques, harpes, tam-tam, célesta. Le soliste traverse ce paysage de mort et de désolation en ruminant la même mélodie obsessionnelle. C’est une quête sans espoir, l’histoire d’une âme errante armée d’un petit violon pour unique compagnon.